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Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !

Communiqué conjoint de la Ligue du Midi, Riposte Laïque,Vigilance Halal, Résistance Républicaine Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu’au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d’enquête contre de supposées violences des groupes d’extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l’Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin. Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n’a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ». Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d’extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l’ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier. À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience. Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi. Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste – dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault – a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente. Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs. De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs. Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif. En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire. Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition. Montpellier, le 9 avril 2019

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Procès d’Eric Dick en appel dans l’affaire de la Mie Caline : Parade victorieuse de notre avocat, Maître Yon.

Pour ceux qui n’auraient pas encore eu connaissance de ce cas supplémentaire de « jihad judiciaire » je résume les faits. Eric Dick est un cinéaste professionnel spécialisé dans les documentaires. Vendéen de souche, il a pris conscience de l’islamisation de sa terre natale sous la poussée du « grand remplacement » . Il a donc entrepris le tournage d’un film intitulé « Et les cloches se sont tues » allusion au livre de Philippe de Villiers « Les cloches sonneront elles encore demain ? » Ce film fait egalement reference au « Camp des saints » de Jean Raspail. En Septembre 2018 il diffuse sur internet un extrait filmé en caméra cachée dans une enseigne de restauration rapide, La Mie Caline de La Roche sur Yon et demande un sandwich au poulet halal . L’opératrice lui certifie verbalement que tous les sandwiches sont halal, bien qu’aucune mention n’en informe le client. Iltermine sa vidéo en disant que l’argent du halal finance l’état islamique. Cette vidéo fait le buzz ! Dépôt de plainte pour diffamation sur ce dernier point de la Mie Câline. Cette société a le bras long et l’audience est très rapide, le 10 Janvier aux Sables d’Olonnes. Un avocat de l’aide juridictionnelle, nommé avant que nous ayons pu entrer en contact avec Eric va faire une plaidoirie débile, il a refusé de m’entendre sur l’argumentation factuelle que Vigilance Halal developpe sur ce sujet. Résultat : une condamnation lourde de 10 000€ avec sursis et 2500€ e frais de justice plus frais de parution dans les journaux. Sur notre conseil, il fait appel et la date d’appel est fixée au 22 Mars. Notre avocat, Maître Yon, fait la demande des attendus du jugement. Il ne les recevra que 5 jours avant le procès. Il demande alors un renvoi en accord avec l’avocat de la partie adverse. Le président du tribunal refuse alors sechement, pretextant qu’il n’a pas de date disponible avant le délai de 3 mois

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Alain de Peretti : « Vigilance Halal n’est pas un groupuscule ! »

Alain de Peretti a appris, par un article du Figaro du 14 février, que la commission d’enquête parlementaire sur les groupuscules d’extrême droite, présidée par la députée de La France insoumise Muriel Ressiguier, aurait prévu d’auditionner Vigilance Halal. Réaction au micro de Boulevard Voltaire d’Alain de Peretti, président de cette association. Lire la suite ici

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Vigilance Halal citée par la commission d’enquête parlementaire sur les violences d’extrême droite : « Invraisemblable » pour Alain de Peretti [Interview]

L’association Vigilance Halal mène depuis des années des campagnes de prévention, d’alerte et d’opposition à la pratique de l’abattage rituel halal, dénonçant notamment les dangers sanitaires, mais aussi la souffrance animale, ou encore interrogeant le financement de cette économie qui explose. Cela lui vaut d’être citée aujourd’hui… par une commission d’enquête parlementaire… sur les violences d’extrême droite, commission d’enquête souhaitée, puis montée, notamment par les députés de la France Insoumise (extrême gauche). Une commission (à laquelle participent des députés payés par le contribuable) qui s’agite via des auditions, des interventions, des réunions, sans que l’on comprenne réellement de quoi il est question et quels sont les objectifs de cette commission. Lire la suite sur Breizh-info.com

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Le halal se renforce en France comme un signe d’identité et de grand business

Le halal se consolide en France comme un signe d’identité et de grand business. C’est sous ce titre que le grand quotidien espagnol El Pais mène un reportage sur le halal en France. Avec interview d’Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal. Voir le début de l’article ci-dessous : Saint-Denis, la ville de 110 000 habitants au nord de Paris, concentre quelques traumatismes et obsessions de la France contemporaine. La basilique Saint-Denis abrite les tombes de 43 rois de France, de Dagobert au VIIe siècle à Louis XVIII au XIXe siècle. A dix minutes au sud se trouve l’imposant Stade de France, aux portes duquel un terroriste islamiste a commis l’un des attentats qui ont frappé la capitale française et ses environs le 13 novembre 2015. A cinq minutes à pied au nord de la basilique, épicentre du christianisme français que le président Emmanuel Macron aime fréquenter pour renouer avec la plus profonde tradition nationale, se trouve la rue Gabriel Péri, une rue commerciale semblable à tant d’autres en France. Sa particularité réside tout d’abord dans l’abondance des coiffeurs afro. Deuxièmement, dans de nombreuses pizzerias, boucheries, boucheries, kebabs et restaurants asiatiques, il y a un autocollant bien visible avec le mot halal, où l’on vend de la viande abattue selon les rites musulmans. Lire la suite ici

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Victoire judiciaire totale pour VH

Madame, Monsieur, Après plus de 5 ans de procédure, nous venons de connaître une victoire totale devant la cour administrative d’appel de Paris. Voir l’arrêté ici Dès la création de Vigilance Halal en 2012, nous avions défini un axe d’action judiciaire car le halal s’affranchit allégrement des lois et règlements, avec la bienveillance des autorités . Un des points clés que nous soulevions est basé sur le fait que l’abattage halal, pourtant illégal pour raison sanitaire et de protection animale, peut se pratiquer sous forme de dérogation préfectorale. Cette dérogation est accordée par les préfectures suite à un dossier administratif. Comme toute littérature administrative, tout semble être maîtrisé, tout est sous contrôle ! Et pourtant… S’il est difficile pour nous de contrôler tous les éléments, l’un d’entre eux est à notre portée : c’est la tenue d’un registre des commandes spécifiques . Sachant par des témoignages que la plupart des abattoirs qui ont demandé une dérogation ont largement outrepassé cette règle nous avons lancé une dizaine de procédures devant les tribunaux administratifs demandant communication de ce registre des commande. Notamment pour les abattoirs d’Île de France, dont Marine Le Pen avait dénoncé l’hallalitude en 2012. Nous avons systématiquement perdu tous nos procès, au motif spécieux que ce registre des commandes est un document commercial donc non communicable… Nous n’avions pas les moyens d’aller en appel pour tous ces dossiers, nous avons donc concentré le tir sur l’abattoir de Meaux et ceux de Seine et Marne car nous avions en main une vidéo d’ Antenne 2, la viande dans tous ses états (à partir de 21′) montrant en caméra cachée que TOUS les abattages y étaient halal. Cet appel a connu son épilogue le 18 Décembre au terme de plus de 5 ans de procédure avec une victoire totale, le tribunal confirmant le bien fondé de notre action, condamnant l’État à nous verser 1500€ au titre des frais. Le considérant n°3 rappelle que le préfet doit retirer la dérogation en cas de manquement aux obligations ( dont la tenue d’un registre des commandes) et il a 2 mois pour redonner une autre dérogation sur présentation d’un nouveau dossier. Il va de soi que nous allons particulièrement veiller à l’application de ce point éventuellement par l’envoi d’huissiers. Dans le considérant n°4 de ce jugement il est fait état des documents fournis en tant que registre des commandes : ce sont des bilans annuels communiqués à l’administration sous forme de feuilles volantes manuscrites ou de réponses à des mails « au mieux accompagnés de tableaux ». « De tels documents ne sauraient suffire à justifier la mise en place du dispositif « ( la dérogation NDLR) Ce n’est quand même pas très sérieux de la part de l’administration d’avoir accepté cela depuis 6 ans au moins. Complicité, incompétence, négligence ? Dans ce même considérant n°4, les établissements se justifient par une remise « directe » au consommateur, ce qui pose un autre problème à savoir des flux financiers potentiellement hors fisc facilités par cette pratique. Notre stratégie de recherche des voies de droit, basée sur des arguments scientifiques et de simple bon sens, loin de toute polémique mais affrontant le réel sur un sujet quasiment tabou se trouve validée et nous remercions tous ceux qui ont œuvré pour cette victoire et notamment notre avocat Me Yon. Alain de Peretti Président de Vigilance Halal

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Soutien à Erick Dick, attaqué en Justice par la Mie Câline

Erick Dick est un cinéaste. Il a réalisé un reportage, « Et les cloches se sont tues », dans lequel on le voit acheter un sandwich au poulet à la Mie Câline de La Roche-sur-Yon. L’opératrice, enregistrée en caméra cachée, lui indique bien que tous les sandwiches sont halal. De là, Erick Dick en conclut logiquement que le client n’a pas le choix : il doit manger halal, ou aller ailleurs. Constatant que la diffusion de la vidéo a provoqué un véritable tollé, La Mie Câline, groupe puissant de restauration rapide, a décidé de porter plainte contre le cinéaste. Facile : une batterie d’avocats et de juristes sont déjà en action pour mettre au pilori un homme courageux qui dénonce les problèmes de notre société. Le procès se tiendra le 6 décembre prochain. La procédure est étonnamment rapide, surtout lorsque l’on sait que des voleurs, des agresseurs, des violeurs sont parfois remis dans la nature en attente d’un jugement sine die. Nous devons nous mobiliser pour empêcher cette injustice ! Nous avons le droit de savoir ce qu’il y a dans notre assiette ! Nous l’accompagnons actuellement dans sa procédure judiciaire, mais, vous vous en doutez, celle-ci a un coût. Je vous demande d’aider ce patriote à payer ses frais d’avocat ! Suivez ce lien pour la cagnotte à son nom: https://www.donnerenligne.fr/vigilance-halal/faire-un-don Merci d’avance pour ce que vous pourrez faire pour lui,

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Abattoir de Boischaut : les enseignements du scandale

La nouvelle vidéo de L214 sur l’abattoir de Boischaut Commune de Lacs dans l’Indre est riche d’enseignements. https://www.youtube.com/watch?v=uL6iTHvQjQE En effet, , il ne s’agit pas d’un abattoir halal mais on peut voir des animaux mal étourdis ou pas étourdis du tout, sans doute avec du matériel défectueux et/ou des opérateurs qui sont mal formés ou s’en fichent. Ensuite la conception de cet abattoir, bien qu’il ait l’air moderne, est totalement à côté de la plaque : couloir d’accès à parois fixe alors qu’il doit être réglable selon la taille de l’animal, non blocage de la tête donc difficultés à l’étourdissement, couloir petits ruminants de conception absurde, poste de saignée trop proche de la cage d’étourdissement, avec les risques sanitaires qui en découlent. Enfin, personnel à la ramasse sur toutes les chaines. Questions : Qui choisit ce matériel, quel fonctionnaire ignare ? Qui contrôle tout cela, avec quel compétence et quels horaires de présence ? Pourquoi n’applique t’on pas les méthodes Temple Grandin qui sont devenues outre Atlantique une reference, quasi un label ? Ou bien les abattoirs mobiles à la ferme utilisés dans certains pays européens ? Si l’assemblée LREMavait voté pour l’installation des caméras, il n’y aurait pas eu besoin de l’intrusion illégale de L214. En France on ignore superbement toutes ces avancées positives, avec un affrontement idéologique stérile végans contre industriels de la viande. Le Bio est contaminé à la fois par le halal et l’affairisme et n’est plus du tout une garantie de qualité. Si la diffusion de ces images est utile, l’utilisation partisane de L214 pour faire avancer la cause végan et mettre du combustible dans l’extrémisme qui sévit dans l’actualité est dommageable pour la cause animale qui demande du pragmatisme et surtout pas d’idéologie. De plus ces organisations ne s’attaquent jamais au halal où les images sont encore pires pour « ne pas stigmatiser », alors que la plupart de leurs vidéos ont été tournées dans les abattoirs halal.

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Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

Une fois de plus, la presse main-stream, en l’occurrence l’Express, découvre l’eau tiède : Nous mangeons halal et casher sans le savoir !! Récemment les médias se sont alarmés également de la montée de revendications religieuses dans les écoles y compris maternelles, pourtant largement documenté depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques. En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde à titre dérogatoire seulement la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance Halal pour attaquer devant les tribunaux administratifs les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs ( dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables. Le député de l’Aube Nicolas Dhuicq avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher. Il faut d’ailleurs relativiser le casher qui représente maintenant moins de 1% de la viande rituelle et en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal c’est la charia ! Mais le « système » en agglomérant les deux noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal… Cette indication essentielle pour nombre de consommateur ( plus de 70 %)est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam . Sur ce point on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais surtout , il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le notre ( voir entre autres l’arrêt de la Cour Européenne des droits de l’homme du 31 Juillet 2001) Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le Coq » qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen qui nous vaut pour le coup d’être étiquetés « islamophobes » sans vergogne ! Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait il pas plutôt la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher d’ailleurs…) plutôt que sa « pureté » rituelle ? Et pour conclure, en paraphrasant Segolène Royal, « l’halalitude n’est t’elle pas le prélude à la dhimmitude « ?

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Aïd el Kebir 2018 : le village Potemkine, comme d’habitude !

Comme chaque année, c’est le grand n’importe quoi de l’Aïd. Malgré toutes les facilités accordées et les contorsions, les remontées du terrain démontrent que les pratiques culturelles et culturelles de l’islam ne peuvent pas s’insérer dans notre vie quotidienne. Ce n’est pourtant pas faute d’un matraquage médiatique du type « tout va très bien Madame la marquise » ou du type village Potemkine. La littérature administrative abondante, ainsi que les déclarations des autorités montrent une maîtrise sans faille de la « chose ». Il ne « manque pas un bouton de guêtre » Un des principaux problème est la multiplication des abattoirs temporaires ( et non mobiles comme énoncé souvent de façon erronée). Ils ne peuvent pas assurer des conditions sanitaires correctes, sachant qu’un abattoir est une installation classée, donc dangereuse selon le classement Seveso. Les abattoirs perennes seraient parfaitement en mesure d’assumer cet abattage si les 3 jours effectifs  négociés  avec les « autorités » musulmanes étaient effectifs, mais tous les musulmans veulent abattre le premier jour, d’où un relatif encombrement. Une fois de plus cette population dicte « sa » loi, c’est à dire la charia.Un arrêt du 29 Mai 2018 de la Cour de Justice de l’Union Européenne sur une question préjudicielle émanant d’associations musulmanes de Flandres où les abattoirs temporaires sont maintenant interdits a donné raison aux autorités, et confirmé les dangers sanitaires des abattoirs temporaires. Cet arrêt devient donc ipso facto un règlement applicable dans toute l’Europe, et donc…en France. Nous n’avons pas pu actionner la justice suffisamment rapidement avant les vacances pour agir sur l’Aïd du 21 Août, à l’exception de Montpellier où nous avions une décision à attaquer au Tribunal administratif. Si notre recours en référé suspension a été rejeté au motif que toutes les autorisations sont à jour, l’examen au fond sera fait et d’ici l’an prochain. Et surtout, nous allons attaquer les organisateurs privés devant les tribunaux de grande instance. La multiplication, cette année encore, des cas de trafic d’animaux détenus de façon irrégulière et rapportés par la presse démontre, s’il en etait besoin que ces pratiques déjà dérogatoires, sont in-encadrables par des services débordés et ne désirant pas se mêler d’affaires concernant une communauté « ombrageuse » Une vidéo de l’association Stephane Lamart qui effectue le sauvetage d’un mouton dans un local poubelle après avoir alerté sans résultat le procureur et la DDPP ( services vétérinaires) ainsi que des retours de nos délégués notamment en Corse où les gendarmes leur ont dit qu’ils avaient des ordres de la Préfecture de ne pas intervenir, démontrent bien qu’il y a un abîme entre les intentions affichées dans les textes et les actes. Dans son mémoire en réponse pour un référé suspension plaidé devant le conseil d’État, en 2016, le ministre de l’Agriculture avait bien noté à 2 reprise que les mesures que nous préconisions entraîneraient des troubles à l’ordre public ! Tout est dit… Nous glissons donc de la dérogation initiale à l’application progressive de la charia, le halal étant une manière de jihad soft accoutumant la société d’accueil à la charia. Nous sommes par ailleurs sur un gros dossier dans le Var de trafic de moutons importés, nous vous tiendrons au courant. Autre problématique : la protection de l’enfance. Les abattoirs temporaires acceptent, contrairement aux abattoirs pérennes, la présence des familles avec les enfants, pour souscrire à l’usage du mouton sacrifié par le père de famille. Cette accoutumance dès la tendre enfance à l’égorgement sanglant n’est pas seulement culturel, mais aussi cultuel : Un hadith authentique relate des paroles menaçantes de Mahomet et sans ambiguïté : « je suis venu à vous par l’égorgement ». L’actualité montre la multiplication d’actes criminels qui sont la signature de l’origine de leurs auteurs, même si les médias cherchent à cacher ou à édulcorer la chose, et il est difficile de ne pas faire une relation… Heureusement, quelques voix bien faibles dans l’islam appellent à une évolution des mentalités, et notamment à transformer le sacrifice du mouton en un don en argent pour les plus démunis. Cette évolution ne pourra se faire que si nous abandonnons l’attitude laxiste , voire même complice, vis à vis des usages d’un islam bloqué au VIIe siècle. Alain de Peretti. Président de Vigilance Halal

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