Aïd el Kebir 2020 : un bon cru ?
Comme chaque année, à l’instar du Beaujolais nouveau, l’Aïd est offert à nos yeux ébahis de mécréants ! Chaque année lunaire s’entend car l’islam ne fait rien comme les autres et leurs années sont plus courtes d’une dizaine de jours. C’est un autre facteur d’isolement communautaire dans la longue liste des règles du halal : nourriture, vêtement, sépulture, législation pointilleuse sur des critères de pureté ridicules, droit de la charia. Tout est conçu pour un contrôle psychologique et social. Chaque année, c’est le même cirque en pire, pseudo liturgie sanguinaire et sadique, que la « République » n’arrivera jamais à canaliser car rien n’est trop beau pour complaire à la communauté pour les adeptes de la « lèche-baboucherie » qui nous dirigent. En effet, l’islam réclame le sacrifice d’un mouton mâle de 1 an environ en mémoire du sacrifice d’Ismaël par son père Abraham remplacé au dernier moment par un belier. En fait c’est Isaac le fils légitime d’Abraham qui échappe au sacrifice, Ismaël étant le fils d’Abraham et de la servante Agar chassés vers la péninsule arabique à la naissance d’ Isaac. D’où la haine des arabes , descendants d’Ismaël, pour les juifs… Pardon pour ces références historiques, nécessaires cependant pour comprendre les ressorts intimes car tous ces peuples ont gardé une mémoire longue de leur histoire, ce qui n’est malheureusement plus le cas chez nous. Depuis le début de l’humanité d’ailleurs, beaucoup de civilisations ont pratiqué des sacrifices sanglants d’animaux ou d’humains (Cf les travaux de René Girard) et le christianisme y a mis fin avec le sacrifice définitif du fils de Dieu, renouvelé de façon non sanglante à la messe, ce qui est un saut qualitatif prodigieux. Dans l’islam non seulement le sacrifice sanglant a persisté mais également une pratique perverse qui consiste pour le père de famille, nouvel Abraham, à égorger en présence des enfants un animal le plus souvent familier avec lequel se sont tissés des liens. Cette accoutumance à la violence sanguinaire domestique, entraîne une culture de l’égorgement que l’on retrouve dans les « faits divers » d’ « incivilité » relatés dans les medias de grand chemin sous le vocable « poignardé au cou ». Cette année le nombre de moutons sacrifiés à domicile a continué d’augmenter. La Fondation Brigitte Bardot a ainsi procédé à la saisie de plusieurs petits groupes de même que l’association Stephane Lamart ou l’OABA. Mais quelques faits divers marquants cette année montrant le naufrage et l’halalisation de notre pays : un mouton échappé sur l’autoroute à Colombes dans le 9-3, un fait qualifié de « cocasse » par Le Parisien, qui d’ailleurs ne rappelle pas la concomitance avec l’Aïd. On ne nous dira pas qu’il s’était échappé de chez un particulier et devait être immolé en toute illégalité. Même tonalité inacceptable l’année dernière où un mouton était tombé d’un immeuble, s’était cassé les pattes et avait été récupéré par son « propriétaire » ce qui avait beaucoup amusé le journaliste. La Réunion où un bovin, comme l’an dernier devait être abattu…à la mosquée, comme l’an dernier, et, là aussi Vigilance Halal va porter plainte. Mise à disposition dans de nombreuses communes de bennes pour les déchets issus de l’abattage à domicile ( peaux, viscères etc.), en théorie interdit, mais jamais sanctionné : complicité de délit mais également faute sanitaire grave car ces organisme ne sont pas qualifiés pour traiter ce genre de déchets. Tous ceux qui ont été confrontés aux rigueurs des services SICTOM pour des pratiques inadaptées apprécieront le 2 poids 2 mesures. Des dizaines de corps de moutons au fil du Rhône, les articles de presse ne faisant aucune mention sur la concomitance avec l’Aïd, ni de la race de ces moutons, ni de la présence de boucles d’oreille sur certains qui permettent d’identifier l’origine. Je prends le pari qu’aucune suite ne sera donnée. Il s’agit sans doute d’un troupeau échappé d’un abattoir clandestin au bord du Rhône qu’il devrait être facile de repérer. Un correspondant de la région du Puy m’a informé que dans le fief d’un certain Wauquiez, l’abattoir public de Polignac avait été obligé de pratiquer l’Aïd malgré l’opposition de son directeur et de ses employés, avec une taxe d’abattage en dessous du prix normal. Le scandale persistant des abattoirs temporaires, bricolés et pas aux normes, mais autorisés par les préfets. Le regretté Cazeneuve alors ministre de l’intérieur et des cultes, devant le CFCM avait déclaré au sujet de ces structures « la législation est trop complexe et le coût trop important » ce qui, en clair, signifie laxisme sur les règles sanitaires et financement public… Plusieurs lieux publics ont été réquisitionnés pour la grande prière, mais tout est correct, les masques et les distances ont été respectées, alleluia…oups Allahou Akbar ! En conclusion, comme je l’affirme, non sans preuves, l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République. Laquelle « République » est en train de perdre toute légitimité car elle trahit la France. Pour moi, en effet, la République est un mode de gouvernement seulement, et j’ai de plus en plus de peine avec les « valeurs » républicaines. Alain de Peretti
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