avril 2019

leparisien

Halal : Franz Olivier Gisbert attaque le halal mais épargne l’islam !

Dans le Point, une tribune de FOG fait grand bruit et beaucoup de nos membres me l’ont envoyée en applaudissant à cause de son titre accrocheur : « l’escroquerie du halal » Qu’on me permettre de soumettre cet article à la critique rationnelle basée sur la connaissance de l’islam et surtout de la « charia » Cet éditorial est très interessant certes mais partielle! En effet FOG, comme tous les commentateurs patentés de la « classe parlante » évite  de considérer la réalité de l’islam, qui est une idéologie politique conquérante à vernis religieux. Aucune de ces personnes n’a fait l’effort, même si c’est rebarbatif, d’étudier les textes coraniques ( coran, haddiths, sunna). Il est vrai que notre société sécularisée a beaucoup de peine à comprendre un mouvement religieux, alors que, si on en croit Malraux, « le 21e siècle sera spirituel ou ne sera pas », même si la spiritualité de l’islam me semble peu convaincante. Le halal, dans toutes ses acceptions, est inclus dans les textes coraniques, ce n’est absolument pas une tradition inventée. Cette affirmation politiquement correcte expliquant l’essor du halal par une analyse purement économique est due à une erreur de perspective du fait d’une courte vue historique : l’islam a connu en effet une longue période d’éclipse depuis le 18e siècle (bataille de Vienne, 1683) , et, de plus, les sociétés musulmanes depuis une dizaine de siècle au moins se sont sclérosées en appliquant de façon assez souple la charia qui definit tout en fonction de critères de pureté (halal). C’est ce qui explique que beaucoup de mes amis pieds noirs me disent qu’à leur époque ces règles étaient extremement laxistes. Mais tenons nous compte de ce que veulent les salafistes : le « retour aux sources de l’islam », ce qui a quand même une signification essentielle me semble t’il pour affirmer que le halal n’est pas « une tradition inventée ». Ils ne font qu’appliquer, entre autres, la sourate 3, verset 110 : Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes. Vous ordonnez le convenable (halal), interdisez le blâmable (haram) et croyez à Allah. Les termes « ordonnez » et « interdisez » sont forts et significatifs de l’état d’esprit du texte ! Or, depuis les années 1950, la décolonisation et surtout la manne pétrolière, associée à la perte de vitalité des sociétés occidentales ( voire même leur décadence…) les sociétés islamiques ont échafaudé une stratégie de conquête du monde, dont ils ne se cachent même pas, associant le djihad armé à une offensive culturelle par le halal , la falsification de l’histoire (mythe d’Al Andalous par ex), et la corruption des dirigeants occidentaux ( voir Qatar papers…) Les peuples ont une mémoire longue,  nos intellos l’ont oublié, et ce n’est pas pour rien que nous sommes toujours les « croisés » pour les musulmans. Ils ont soif de revanche et nous imputent leurs échecs, leurs frustrations et leurs retards. Le fait que la finance se rue dans la brèche du halal est un effet d’aubaine qu’on peut rapprocher de ce que disait Lénine (« les capitalistes vendront la corde pour les pendre »). Il est donc abusif de prendre l’effet pour la cause. Et surtout cela permet une fois de plus d’exonérer l’islam, alors que le halal est tout simplement la « praxis » de cette idéologie par la charia, système juridique totalitaire, dont la cohabitation avec notre conception du droit positif est impossible. L’acclimatation dans notre société de la charia par le halal est un danger pour notre civilisation, et l’halalitude est le prélude à la dhimmitude . Vigilance Halal, Alain de Peretti, via Breizh-info.com

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Commission parlementaire « extrême droite » : auditions publiques pour les accusateurs, huis clos pour les accusés !

Communiqué conjoint de la Ligue du Midi, Riposte Laïque,Vigilance Halal, Résistance Républicaine Depuis le 23 janvier 2019, et jusqu’au 16 mai prochain, se tient une curieuse commission d’enquête contre de supposées violences des groupes d’extrême droite, à la demande de Jean-Luc Mélenchon. Cette commission est présidée par Mademoiselle Muriel Ressiguier, député des Insoumis de l’Hérault. Elle devait conclure ses travaux le 16 mai, et rendre son rapport le 11 juin. Nous avons appris, par une fuite du Figaro, qui n’a pas été démentie, que nos responsables devaient faire partie des personnalités auditionnées. Pourtant, nous ne nous reconnaissons absolument pas dans cette définition donnée par les députés : « Tous ces groupes ont en commun la violence, l’incitation à la haine raciale, homophobe et sexiste. Ils agressent des couples, des cyclistes, des passant-e-s, des étudiant-e-s pour leurs opinions, leur orientation sexuelle ou leur origine. Ils agressent, insultent, intimident, menacent de simples citoyen-ne-s mais aussi des élu-e-s de la Nation ». Nous y verrions plutôt les pratiques des groupes d’extrême gauche, antifas ou Black Blocs, qui ont multiplié, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes, les actes de vandalisme contre des symboles qui leur déplaisent, des agressions contre des journalistes, des librairies ou des opposants politiques, ainsi que des violences graves contre les forces de l’ordre, ce qui ne paraît pas émouvoir le chef des Insoumis, ni Mademoiselle Ressiguier. À quelques jours de leur éventuelle audition par la Commission d’enquête, les personnalités et leaders des groupes visés, n’ont toujours reçu aucune notification. Par conséquent, en fonction de leur éloignement ou de leur emploi du temps déjà engagé, certains d’entre eux pourraient avoir à demander des reports d’audience. Par ailleurs, si aucun texte ne précise les conditions permettant de décréter le huis clos en commission, il semble pourtant que les règles constantes du droit commun, ainsi que l’usage, commandent d’en justifier l’emploi. Les parlementaires voudront bien se demander pourquoi Madame HERVOUËT, présidente d’une association immigrationniste – dont les curieuses pratiques ont été épinglées par le conseil départemental socialiste de l’Hérault – a été auditionnée à huis clos alors qu’elle était là en infraction totale avec le principe de séparation des pouvoirs ; pourtant, dans le même temps cette disposition a été refusée à Monsieur BATTESTI, président de Facebook, qui la demandait, terrorisé par les menaces induites par la Présidente. Pareillement, on se demandera ce qui justifie le huis clos pour les auditions de Messieurs Fabrice ROBERT et Romain ESPINO, animateurs de mouvances identitaires, convoqués ce jeudi 11 avril. Ce refus du principe du « contradictoire » n’est pas sans rappeler les pratiques d’autres pays, d’autres époques et d’autres mœurs. De notre point de vue, aucune raison réelle et sérieuse ne justifie le huis clos pour les personnalités et leaders des groupes visés ; sinon celle de leur fermer la tribune qui leur est due et d’occulter aux yeux du public les éléments qu’ils pourraient faire valoir en défense ; alors que tous les éléments à charge les concernant ont été largement rendus publics et de manière tendancieuse et très exagérée ; parfois même en infraction avec le principe de séparation des pouvoirs. Les parlementaires devraient s’interroger sur le sens de ces manœuvres arbitraires qui n’ont d’autre but que de nous bâillonner et de présenter au public un seul son de cloche : démarche publique résolument à charge d’un côté, interdiction de publicité de notre défense de l’autre. Ce déséquilibre est inadmissible dans un état de Droit, surtout émanant du pouvoir législatif. En conclusion de tout ce qui précède, les signataires entendent, si leur convocation était confirmée, se présenter à un débat public, équilibré et contradictoire. Par conséquent, ils demandent la levée du huis clos en ce qui les concerne, et à défaut, qu’en soient publiquement justifiées les raisons dès avant leur audition. Montpellier, le 9 avril 2019

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Procès d’Eric Dick en appel dans l’affaire de la Mie Caline : Parade victorieuse de notre avocat, Maître Yon.

Pour ceux qui n’auraient pas encore eu connaissance de ce cas supplémentaire de « jihad judiciaire » je résume les faits. Eric Dick est un cinéaste professionnel spécialisé dans les documentaires. Vendéen de souche, il a pris conscience de l’islamisation de sa terre natale sous la poussée du « grand remplacement » . Il a donc entrepris le tournage d’un film intitulé « Et les cloches se sont tues » allusion au livre de Philippe de Villiers « Les cloches sonneront elles encore demain ? » Ce film fait egalement reference au « Camp des saints » de Jean Raspail. En Septembre 2018 il diffuse sur internet un extrait filmé en caméra cachée dans une enseigne de restauration rapide, La Mie Caline de La Roche sur Yon et demande un sandwich au poulet halal . L’opératrice lui certifie verbalement que tous les sandwiches sont halal, bien qu’aucune mention n’en informe le client. Iltermine sa vidéo en disant que l’argent du halal finance l’état islamique. Cette vidéo fait le buzz ! Dépôt de plainte pour diffamation sur ce dernier point de la Mie Câline. Cette société a le bras long et l’audience est très rapide, le 10 Janvier aux Sables d’Olonnes. Un avocat de l’aide juridictionnelle, nommé avant que nous ayons pu entrer en contact avec Eric va faire une plaidoirie débile, il a refusé de m’entendre sur l’argumentation factuelle que Vigilance Halal developpe sur ce sujet. Résultat : une condamnation lourde de 10 000€ avec sursis et 2500€ e frais de justice plus frais de parution dans les journaux. Sur notre conseil, il fait appel et la date d’appel est fixée au 22 Mars. Notre avocat, Maître Yon, fait la demande des attendus du jugement. Il ne les recevra que 5 jours avant le procès. Il demande alors un renvoi en accord avec l’avocat de la partie adverse. Le président du tribunal refuse alors sechement, pretextant qu’il n’a pas de date disponible avant le délai de 3 mois

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