juin 2020

Encore un petit effort pour remporter une bataille décisive contre l’abattage rituel !

La crise du coronavirus est derrière nous. Mais nous sommes loin d’être hors de danger. Bien que les médias n’en parlent jamais, les contaminations à l’E-Coli par la viande continuent, s’accentuent même, dans notre pays. Chez les personnes fragiles, très jeunes ou âgées, elles peuvent provoquer de graves complications, voire la mort. Par ailleurs, dans nos hôpitaux, les personnes admises pour une infection sont de plus en plus difficiles à soigner. La raison ? Les animaux d’élevage sont gavés d’antibiotiques, et les bactéries dans leurs estomacs deviennent résistantes et plus virulentes. Lorsqu’un médecin se trouve face à un patient atteint de septicémie, il ne sait plus quoi faire si les microbes qu’il doit combattre résistent aux traitements ! Les conditions d’hygiène déplorables dues à l’abattage halal (entraînant le déversement systématique du contenu de l’estomac lors de la saignée) sont la cause de cette diffusion de bactéries résistantes et virulentes dans le milieu extérieur. Elles nous contaminent tous, de proche en proche, jusqu’à l’hôpital ! Il suffit que nous recevions la visite de quelqu’un, d’un ami ou même du facteur, pour qu’elles nous atteignent. Nous devons démontrer ces graves problèmes de santé publique aux commissaires européens. Ils doivent prendre des mesures pour interdire l’abattage sans étourdissement et donc par égorgement, et obliger les établissements à revoir et durcir leurs règles de sécurité sanitaire. Pour cela, vous le savez, nous préparons un dossier à présenter devant la Commission européenne. Il nous coûte très cher à établir, environ 25 000 euros. Il faudra ensuite engager d’autres sommes pour le présenter devant les commissaires. Grâce à votre mobilisation, nous avons recueilli environ 20 000 euros. Merci pour votre soutien ! C’est une vraie démonstration que vous êtes sensible à cette cause, et que vous vous préoccupez de l’avenir de vos proches, de votre santé, du destin de notre civilisation. Il ne nous manque que quelques milliers d’euros pour finaliser notre action, en consultant et synthétisant les données scientifiques, en établissant un rapport irréfutable. Plus que quelques milliers d’euros pour porter notre combat devant les grands décideurs ! Je fais à nouveau appel à vous : s’il vous plaît, aidez-moi à boucler le rapport scientifique et saisir la Commission européenne en faisant un don à votre association (déductible fiscalement). Poursuivons l’élan et franchissons le dernier obstacle : si nous parvenons à nos fins, nous pourrions provoquer un véritable tremblement de terre sur notre continent ! Je vous remercie d’avance pour votre participation, Alain de Peretti

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Au sujet du Coronavirus et de l’abattage rituel dans les abattoirs

Ces dernières semaines de nombreux « clusters » (pourquoi ne pas dire « foyers » ? !) d’infection   dans les abattoirs par le fameux coronavirus, vedette des médias, ont défrayé la chronique, en France mais aussi dans de nombreux pays. Aussitôt, des associations  et groupes « végans » ont dénoncé la responsabilité de la consommation de viande dans la genèse de toutes les maladies. Comme si les végétaux, notamment dans les structures de type industriel, n’étaient pas eux aussi à l’origine de nombreuses intoxications et pathologies : entre autres, aflatoxines et mycotoxines, ergot de seigle, colibacilloses, salmonelloses etc. Mais passons, l’inculture et le dogmatisme sectaire de ces groupes de bobos citadins est insondable. Ils pensent sans doute que la nature est bonne, et que la vie est un long fleuve tranquille. Ces foyers s’expliquent, de façon rationnelle cette fois, par divers facteurs : 1° les conditions d’environnement dans un abattoir sont favorables à la diffusion des germes et virus, du fait de l’humidité et du froid, ou tout le moins des variations importantes de température dans les frigos. Le mélange d’animaux venant de tous horizons, parfois lointains, et porteurs de germes et virus  est aussi un facteur important. 2° Les abattoirs sont des lieux où l’hygiène est fondamentale, surtout les grandes structures industrielles, du fait de cette activité spécifique. Napoléon, d’ailleurs, avait pris un décret d’éloignement des abattoirs des centres villes pour des questions d’hygiène. La moindre faute d’hygiène se paie cash ! C’est pour cela que l’abattage rituel est à bannir de façon absolue du fait des souillures qu’il entraîne. Or la plupart des abattoirs pratiquent maintenant de façon massive cet abattage. Nous avons d’ailleurs commandé un rapport d’expertise sur l’antibiorésistance et la virulence des souches de germes d’origine animale qu’on rencontre maintenant en médecine de ville et hospitalière. Il semble maintenant probable que la généralisation de l’abattage rituel soit à l’origine de ces problèmes graves. 3° Le personnel est un des éléments le plus important. Le travail est ingrat, mal payé, et le recrutement est difficile. Il est de plus en plus fait appel à de la main d’œuvre immigrée, sans formation, comprenant mal les consignes, habituées à des normes d’hygiène peu contraignantes. Ils sont logés dans des foyers où la promiscuité est importante. Il est donc prévisible que le coronavirus s’y developpe  facilement du fait de toutes ces conditions. Le Pr Raoult parle d’ailleurs de maladies d’écosystème à propos de ces virus respiratoires saisonniers. Nous y sommes ! Au sujet du Pr Raoult, et pour conclure voici une anecdote en relation avec notre sujet  qui illustrera le rapport hygiène de l’abattoir et santé humaine. Il y a démontré  sa haute compétence médicale, qui consiste à observer de façon pragmatique sur le terrain. En 1996 sévissait à Briançon une épidémie de Fièvre Q, maladie grave commune à l’homme et aux animaux. L’origine de cette épidémie restait mystérieuse malgré toutes les recherches. Le Pr Raoult fût donc appelé et se rendit sur place. Après une enquête de 2 jours où il a arpenté toute la ville, il a trouvé l’origine : l’abattoir de la ville qui se trouvait à proximité de la base d’hélicoptères de la gendarmerie. Le brassage de l’air par les pales des hélicoptères diffusaient sur de grandes distances les germes de l’abattoir jusqu’à la ville. Il y eut un conflit avec le maire de Briançon, un vétérinaire, qui ne voulait pas reconnaître la responsabilité de l’abattoir ! Cela ne vous rappelle rien ? Alain de Peretti

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