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L’Europe enfin contre le halal ?

Le 17 Décembre la CJUE a rendu un arrêt très important suite à la décision de  la Flandre belge  d’interdire l’abattage sans étourdissement sur son territoire.  Des associations musulmanes et juives avaient  porté  réclamation devant la CJUE considérant que cette décision était contraire à la liberté religieuse garantie par l’Union Européenne. Les choses étaient mal parties : lors des plaidoiries, en Septembre, l’avocat général avait estimé que la liberté religieuse surpassait la souffrance animale. En général, la Cour suit toujours ses réquisitions  Quelle ne fût pas notre  surprise de voir que la Cour avait statué sur le fait que l’étourdissement n’était pas contraire à la liberté religieuse. C’est donc une grande victoire ! MAIS … n’oublions pas que cet arrêt n’est pas contraignant pour les autres pays, et son application dépendra du courage de notre personnel politique. Il est donc, sauf divine surprise, pas difficile de prévoir que rien ne va bouger, pas de vagues, les communautés concernées étant très sensibles. Dans son célèbre discours de Harvard, Soljenitsyne avait dénoncé à juste titre « le déclin du courage »  Il avait analysé de façon très lucide le mal qui ronge notre monde occidental et qui se manifeste de façon paroxystique en ce moment face à l’épidémie de COVID, et à toutes les entreprises de démolition en cours (je préfère ce terme à celui de déconstruction) Une autre bonne nouvelle pour le combat contre l’abattage rituel est tombée cette semaine.  On n’en a pas beaucoup parlé :  toujours au niveau européen, le Mardi 15 les ministres de l’agriculture de l’UE, à l’unanimité, ont demandé à ce qu’un étiquetage soit mis en place donnant les informations essentielles de mode d’élevage, de transport et d’abattage. Nous menons également depuis l’origine des actions pour cet étiquetage,  contre les modes d’élevage concentrationnaires, et les transports sur de longues distance qui sont, à l’évidence une maltraitance et influent sur la qualité de la viande issue des animaux d’abattoir. Dans ce contexte, l’abattage rituel constitue une « double peine » pour les animaux. Nous vous recommandons la vidéo de l’émission d’ARTE  qui décrit le calvaire de nos bovins ou ovins transportés dans des conditions apocalyptiques en camion ou bateau vers les pays du Proche Orient ou du Maghreb où ils sont abattus halal. Dans ce contexte malgré tout favorable, l’action que nous venons d’initier au niveau européen pourrait enfoncer le clou définitivement. Nous démontrons  de façon scientifique  que ce mode d’abattage est contraire aux règles d’hygiène élémentaires et en traîne de ce fait de nombreux problèmes (notamment de propagation de la résistance aux antibiotiques) du fait de la section de l’œsophage et de la trachée lors de la saignée par égorgement large, entraînant le déversement du contenu de l’estomac. Nous estimons, dans le contexte d’hystérie hygiéniste actuel autour du COVID, que ces arguments sanitaires sont en mesure d’obtenir l’interdiction de l’égorgement halal et donc d’obliger les communautés concernées à rentrer dans la modernité en reconnaissant comme halal ou casher la viande des animaux abattus selon les règles scientifiques modernes. Alain de Peretti

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Etat du combat contre le halal, novembre 2020

Les choses semblent avancer sur le front du halal malgré un ralentissement lié au COVID.             Parmi les bonnes nouvelles, il en faut, suite à la déclaration de Mr Darmanin sur les rayons halal dans les grandes surfaces, Carrefour a décidé de débaptiser ces rayons en les appelant « Maghreb ».             Cela signifie que le mot « halal » devient péjoratif, peu à peu grâce à notre action démontrant l’horreur du halal, ses dangers et son objectif de conquête islamique.  Le mercantilisme recule donc, et ce n’est qu’un début. Le combat culturel, par les mots, en les chargeant d’une signification négative est en effet primordial. Continuez donc à nous soutenir, à diffuser nos informations, et à nous faire remonter vos observations de terrain. Sur le plan juridique, nous avons déposé devant la CEDH, Cour Européenne de Droits de l’Homme, le dossier d’Erick Dick, le vaillant réalisateur qui avait démontré la complicité de la « Mie Câline » , chaine de restauration rapide,  pour l’islamisation de la France. Bien que sa condamnation ait été fortement diminuée en appel, nous avons échoué en Cassation, et plaidons pour une relaxe totale en tant que lanceur d’alerte, ce qui ne serait que justice. Autre dossier important devant le Tribunal judiciaire de Paris pour violation par l’Etat  des règles de procédure dans l’affaire de la perquisition et la garde à vue de notre secrétaire Dominic Gillet. En effet, au bout de 12 h de garde à vue elle avait été relâchée sans signification de mise en examen ni de relaxe, ce qui est une règle absolue. Nous étions dans un déni juridique et nous avons mis 2 ans pour récupérer le PV d’audition qui mettait en cause son action au sein de Vigilance Halal. L’action, initiée en Juin est encours mais la justice prend son temps… Enfin, l’action prévue devant la Cour de Justice de l’Union Européenne pour l’abrogation de la dérogation 858/2004 concernant la technique d’égorgement large pratiquée dans l’abattage halal. Elise Blaise de TVLibertés et Charles Gave pour l’Institut des Libertés ont réalisé des entretiens vidéo où j’explique cette action basée sur les principes d’hygiène bafoués dans l’abattage halal.  Je devais également faire une conférence devant le groupe Identité et Démocratie du parlement européen, mais le COVID a entraîné l’annulation de cet évènement.  J’ai également écrit à de nombreux journalistes et politiques pour tenter d’obtenir du soutien et créer un « bruit de fond » avant le passage devant la CJUE .  Sur le plan de la communication, nous avons relancé le site « Suivez le Coq » et sa page Facebook, et la page Vigilance Halal est en route pour les 21000 abonnés. Une action publicitaire est prévue mi Décembre sur Valeurs Actuelles. Comme vous le voyez nous ne lâchons rien, et tout cela ne serait pas possible sans votre soutien financier, logistique et moral. Le combat que nous menons est fondamental car il permet de mettre en lumière l’islamisation de notre pays, et d’envisager un début de reconquête.       Soyez en chaleureusement remerciés. Alain de Peretti                   

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Aïd el Kebir 2020 : un bon cru ?

Comme chaque année, à l’instar du Beaujolais nouveau, l’Aïd est offert à nos yeux ébahis de mécréants ! Chaque année lunaire s’entend car l’islam ne fait rien comme les autres et leurs années sont plus courtes d’une dizaine de jours. C’est un autre facteur d’isolement communautaire dans la longue liste des règles du halal : nourriture, vêtement, sépulture, législation pointilleuse sur des critères de pureté ridicules, droit de la charia. Tout est conçu pour un contrôle psychologique et social. Chaque année, c’est le même cirque en pire, pseudo liturgie sanguinaire et sadique, que la « République » n’arrivera jamais à canaliser car rien n’est trop beau pour complaire à la communauté pour les adeptes de la « lèche-baboucherie » qui nous dirigent. En effet, l’islam réclame le sacrifice d’un mouton mâle de 1 an environ en  mémoire du sacrifice d’Ismaël par son père Abraham remplacé au dernier moment par un belier. En fait c’est Isaac le fils légitime d’Abraham qui échappe au sacrifice, Ismaël étant le fils d’Abraham et de la servante Agar chassés vers la péninsule arabique à la naissance d’ Isaac. D’où la haine des arabes , descendants d’Ismaël, pour les juifs… Pardon pour ces références historiques, nécessaires cependant pour comprendre les ressorts intimes car tous ces peuples ont gardé une mémoire longue de leur histoire, ce qui n’est malheureusement plus le cas chez nous. Depuis le début de l’humanité d’ailleurs, beaucoup de civilisations ont pratiqué des sacrifices sanglants d’animaux ou d’humains (Cf les travaux de René Girard) et le christianisme y a mis fin avec le sacrifice définitif du fils de Dieu, renouvelé de façon non sanglante à la messe, ce qui est un saut qualitatif prodigieux. Dans l’islam non seulement le sacrifice sanglant a persisté mais également une pratique perverse qui consiste pour le père de famille, nouvel Abraham, à égorger en présence des enfants un animal le plus souvent familier avec lequel se sont tissés des liens. Cette accoutumance à la violence sanguinaire domestique, entraîne une culture de l’égorgement que l’on retrouve dans les « faits divers » d’ « incivilité » relatés dans les medias de grand chemin sous le vocable « poignardé au cou ». Cette année le nombre de moutons sacrifiés à domicile a continué d’augmenter. La Fondation Brigitte Bardot a ainsi procédé à la saisie de plusieurs  petits groupes de même que l’association Stephane Lamart ou l’OABA. Mais quelques faits divers marquants cette année montrant le naufrage et l’halalisation de notre pays : un mouton échappé sur l’autoroute à Colombes dans le 9-3, un fait qualifié de « cocasse » par Le Parisien, qui d’ailleurs ne rappelle pas la concomitance avec l’Aïd. On ne nous dira pas qu’il s’était échappé de chez un particulier et devait être immolé en toute illégalité. Même tonalité inacceptable l’année dernière où un mouton était tombé d’un immeuble, s’était cassé les pattes et avait été récupéré par son « propriétaire » ce qui avait beaucoup amusé le journaliste. La Réunion où un bovin, comme l’an dernier devait être abattu…à la mosquée, comme l’an dernier, et, là aussi Vigilance Halal va porter plainte. Mise à disposition dans de nombreuses communes de bennes pour les déchets issus de l’abattage à domicile ( peaux, viscères etc.), en théorie interdit, mais jamais sanctionné : complicité de délit mais également faute sanitaire grave car ces organisme ne sont pas qualifiés pour traiter ce genre de déchets. Tous ceux qui ont été confrontés aux rigueurs des services SICTOM pour des pratiques inadaptées apprécieront le 2 poids 2 mesures. Des dizaines de corps de moutons au fil du Rhône, les articles de presse ne faisant aucune mention sur la concomitance avec l’Aïd, ni de la race de ces moutons, ni de la présence de boucles d’oreille sur certains qui permettent d’identifier l’origine. Je prends le pari qu’aucune suite ne sera donnée. Il s’agit sans doute d’un troupeau échappé d’un abattoir clandestin au bord du Rhône qu’il devrait être facile de repérer. Un correspondant de la région du Puy m’a informé que dans le fief d’un certain Wauquiez, l’abattoir public de Polignac avait été obligé de pratiquer l’Aïd malgré l’opposition de son directeur et de ses employés, avec une taxe d’abattage en dessous du prix normal. Le scandale persistant des abattoirs temporaires, bricolés et pas aux normes, mais autorisés par les préfets. Le regretté Cazeneuve alors ministre de l’intérieur et des cultes, devant le CFCM avait déclaré au sujet de ces structures « la législation est trop complexe et le coût trop important » ce qui, en clair, signifie laxisme sur les règles sanitaires et financement public… Plusieurs lieux publics ont été réquisitionnés pour la grande prière, mais tout est correct, les masques et les distances ont été respectées, alleluia…oups Allahou Akbar ! En conclusion, comme je l’affirme, non sans preuves, l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République. Laquelle « République » est en train de perdre toute légitimité car elle trahit la France. Pour moi, en effet, la République est un mode de gouvernement seulement, et j’ai de plus en plus de peine avec les « valeurs » républicaines. Alain de Peretti

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Alain de Peretti : « Avec l’égorgement halal, il y aura un énorme scandale sanitaire qui éclatera un jour ou l’autre ! »

Alain de Peretti, président de Vigilance halal, réagit à la décision du Conseil d’État qui a débouté une association contre l’abattage rituel. Il fait le point sur les différents contentieux et la stratégie de l’association sur les dérogations et la demande d’un étiquetage. L’association Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir (OABA) demandait que le règlement soit modifié pour obliger l’étourdissement des bêtes. Cela risquait de mettre en danger les rites halal et casher. Le Conseil d’État vient de débouter cette association. Comment avez-vous accueilli la nouvelle ? Je ne suis pas du tout abattu. Cette décision a été mise en avant par les tenants de ces rituels comme une grande victoire. En fait, c’est simplement un coup d’arrêt dans l’évolution de toute façon obligatoire vers d’autres formes d’abattage des animaux. Le Conseil d’État n’a fait que confirmer la législation actuelle. L’abattage actuel sans étourdissement n’est autorisé que sous un régime de dérogation. Ce n’est donc pas du tout une victoire. L’intention cachée de l’OABA était d’obtenir des tenants de l’abattage rituel un étourdissement post-égorgement. C’est une solution déplorable. C’est une fausse bonne solution. Le chiffre de 40 secondes après l’égorgement circule. C’est quelque chose de très secret. Il existerait une thèse récompensée par l’OABA, mais elle reste non publiée et non accessible au public. Il y a donc d’autres manœuvres derrière ce combat. Pour ce qui nous concerne, nous luttons pour la fin pure et simple de l’abattage rituel. Leur axe d’attaque se tient au bien-être animal. Quel est le vôtre ? Il n’est pas sur cet unique registre. C’est la raison pour laquelle nous avons des problèmes avec les associations animalistes. Nous prenons le problème du halal sous ses trois aspects : la souffrance animale, bien sûr, mais aussi le problème sanitaire et les circuits financiers d’alimentation, notamment de l’islam. Nous soutenons que le halal est un des moyens de propager l’islam intégriste et politique et un moyen de contrôle social des populations musulmanes. Nous avons une vision politique globale sur le halal. Le combat continue-t-il avec Vigilance halal ? Le combat continue sur plusieurs plans. Sur le problème sanitaire, nous sommes en train d’étudier, avec nos conseillers scientifiques, une action devant la Cour de justice européenne. Le halal présente, en effet, d’énormes problèmes sanitaires. Un scandale éclatera un jour ou l’autre. On oublie toujours que la pratique de l’égorgement large, la jugulation, coupe la trachée et l’œsophage, provoquant des régurgitations et des souillures. Par ailleurs, certaines actions de Vigilance halal consistent à remettre en cause les dérogations octroyées pour l’abattage rituel, surtout halal, puisqu’ils ne font l’objet d’aucun contrôle sérieux des préfectures qui les attribuent. Nous avons engagé des actions judiciaires dans 23 départements. Mais ce processus est très long. Enfin, nous sommes en train, également, d’étudier une possibilité d’action pour discrimination. Ils refusent l’étiquetage, soi-disant parce qu’il serait discriminatoire : nous avons l’intention de retourner l’argument. Ceux qui consomment halal ont le droit d’avoir la certitude de manger halal par un étiquetage et ceux qui ne mangent pas halal prennent tout ce qu’il y a, même le halal. Nous nous attaquerons à ce point dans les mois qui viennent. Source : Boulevard Voltaire

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Le halal se renforce en France comme un signe d’identité et de grand business

Le halal se consolide en France comme un signe d’identité et de grand business. C’est sous ce titre que le grand quotidien espagnol El Pais mène un reportage sur le halal en France. Avec interview d’Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal. Voir le début de l’article ci-dessous : Saint-Denis, la ville de 110 000 habitants au nord de Paris, concentre quelques traumatismes et obsessions de la France contemporaine. La basilique Saint-Denis abrite les tombes de 43 rois de France, de Dagobert au VIIe siècle à Louis XVIII au XIXe siècle. A dix minutes au sud se trouve l’imposant Stade de France, aux portes duquel un terroriste islamiste a commis l’un des attentats qui ont frappé la capitale française et ses environs le 13 novembre 2015. A cinq minutes à pied au nord de la basilique, épicentre du christianisme français que le président Emmanuel Macron aime fréquenter pour renouer avec la plus profonde tradition nationale, se trouve la rue Gabriel Péri, une rue commerciale semblable à tant d’autres en France. Sa particularité réside tout d’abord dans l’abondance des coiffeurs afro. Deuxièmement, dans de nombreuses pizzerias, boucheries, boucheries, kebabs et restaurants asiatiques, il y a un autocollant bien visible avec le mot halal, où l’on vend de la viande abattue selon les rites musulmans. Lire la suite ici

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