Alain

Aïd el Kebir 2020 : un bon cru ?

Comme chaque année, à l’instar du Beaujolais nouveau, l’Aïd est offert à nos yeux ébahis de mécréants ! Chaque année lunaire s’entend car l’islam ne fait rien comme les autres et leurs années sont plus courtes d’une dizaine de jours. C’est un autre facteur d’isolement communautaire dans la longue liste des règles du halal : nourriture, vêtement, sépulture, législation pointilleuse sur des critères de pureté ridicules, droit de la charia. Tout est conçu pour un contrôle psychologique et social. Chaque année, c’est le même cirque en pire, pseudo liturgie sanguinaire et sadique, que la « République » n’arrivera jamais à canaliser car rien n’est trop beau pour complaire à la communauté pour les adeptes de la « lèche-baboucherie » qui nous dirigent. En effet, l’islam réclame le sacrifice d’un mouton mâle de 1 an environ en  mémoire du sacrifice d’Ismaël par son père Abraham remplacé au dernier moment par un belier. En fait c’est Isaac le fils légitime d’Abraham qui échappe au sacrifice, Ismaël étant le fils d’Abraham et de la servante Agar chassés vers la péninsule arabique à la naissance d’ Isaac. D’où la haine des arabes , descendants d’Ismaël, pour les juifs… Pardon pour ces références historiques, nécessaires cependant pour comprendre les ressorts intimes car tous ces peuples ont gardé une mémoire longue de leur histoire, ce qui n’est malheureusement plus le cas chez nous. Depuis le début de l’humanité d’ailleurs, beaucoup de civilisations ont pratiqué des sacrifices sanglants d’animaux ou d’humains (Cf les travaux de René Girard) et le christianisme y a mis fin avec le sacrifice définitif du fils de Dieu, renouvelé de façon non sanglante à la messe, ce qui est un saut qualitatif prodigieux. Dans l’islam non seulement le sacrifice sanglant a persisté mais également une pratique perverse qui consiste pour le père de famille, nouvel Abraham, à égorger en présence des enfants un animal le plus souvent familier avec lequel se sont tissés des liens. Cette accoutumance à la violence sanguinaire domestique, entraîne une culture de l’égorgement que l’on retrouve dans les « faits divers » d’ « incivilité » relatés dans les medias de grand chemin sous le vocable « poignardé au cou ». Cette année le nombre de moutons sacrifiés à domicile a continué d’augmenter. La Fondation Brigitte Bardot a ainsi procédé à la saisie de plusieurs  petits groupes de même que l’association Stephane Lamart ou l’OABA. Mais quelques faits divers marquants cette année montrant le naufrage et l’halalisation de notre pays : un mouton échappé sur l’autoroute à Colombes dans le 9-3, un fait qualifié de « cocasse » par Le Parisien, qui d’ailleurs ne rappelle pas la concomitance avec l’Aïd. On ne nous dira pas qu’il s’était échappé de chez un particulier et devait être immolé en toute illégalité. Même tonalité inacceptable l’année dernière où un mouton était tombé d’un immeuble, s’était cassé les pattes et avait été récupéré par son « propriétaire » ce qui avait beaucoup amusé le journaliste. La Réunion où un bovin, comme l’an dernier devait être abattu…à la mosquée, comme l’an dernier, et, là aussi Vigilance Halal va porter plainte. Mise à disposition dans de nombreuses communes de bennes pour les déchets issus de l’abattage à domicile ( peaux, viscères etc.), en théorie interdit, mais jamais sanctionné : complicité de délit mais également faute sanitaire grave car ces organisme ne sont pas qualifiés pour traiter ce genre de déchets. Tous ceux qui ont été confrontés aux rigueurs des services SICTOM pour des pratiques inadaptées apprécieront le 2 poids 2 mesures. Des dizaines de corps de moutons au fil du Rhône, les articles de presse ne faisant aucune mention sur la concomitance avec l’Aïd, ni de la race de ces moutons, ni de la présence de boucles d’oreille sur certains qui permettent d’identifier l’origine. Je prends le pari qu’aucune suite ne sera donnée. Il s’agit sans doute d’un troupeau échappé d’un abattoir clandestin au bord du Rhône qu’il devrait être facile de repérer. Un correspondant de la région du Puy m’a informé que dans le fief d’un certain Wauquiez, l’abattoir public de Polignac avait été obligé de pratiquer l’Aïd malgré l’opposition de son directeur et de ses employés, avec une taxe d’abattage en dessous du prix normal. Le scandale persistant des abattoirs temporaires, bricolés et pas aux normes, mais autorisés par les préfets. Le regretté Cazeneuve alors ministre de l’intérieur et des cultes, devant le CFCM avait déclaré au sujet de ces structures « la législation est trop complexe et le coût trop important » ce qui, en clair, signifie laxisme sur les règles sanitaires et financement public… Plusieurs lieux publics ont été réquisitionnés pour la grande prière, mais tout est correct, les masques et les distances ont été respectées, alleluia…oups Allahou Akbar ! En conclusion, comme je l’affirme, non sans preuves, l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République. Laquelle « République » est en train de perdre toute légitimité car elle trahit la France. Pour moi, en effet, la République est un mode de gouvernement seulement, et j’ai de plus en plus de peine avec les « valeurs » républicaines. Alain de Peretti

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Comme chaque année, le grand cirque de l’Aïd el Kebir (ou el Ahda)

Cette année ce sera le 31 Juillet. En effet la date est mobile car l’islam ne fait rien comme les autres, séparatisme oblige, l’année est basée sur le cycle lunaire et plus courte d’une dizaine de jours. Cette fête censée commémorer le sacrifice d’Abraham, est extrêmement suivie et chaque année, de plus en plus de moutons sont « sacrifiés » sur l’autel d’un dieu sanguinaire (plus de 250 000 selon les estimations). Par laxisme et lèche-baboucherie de plus en plus de facilités dérogatoires des pratiques modernes sont accordées aux « croyants ». Comme tous les ans, sans relâche nous dénonçons : 1°) Le nombre croissant d’abattages sauvages à la maison (dans la baignoire…), interdits mais jamais sanctionnés. En effet la tradition veut que le chef de famille, tel Abraham, égorge le mouton devant ses enfants. Cet apprentissage de l’égorgement en fait un marqueur culturel de cette communauté illustré dans les nombreux faits divers relatés en « poignardé au cou » dans la novlangue journalistique. Les déchets de ces abattages se trouvent éliminés dans la nature avec les risques sanitaires afférents ! Au mieux, certaines municipalités halalisées et donc complices de ce délit, mettent à disposition des bennes : moindre mal, mais soumission à la charia ! Une action judiciaire est en cours contre le SICTOM de Mulhouse pour l’Aïd de l’an dernier mais la justice prend son temps ! 2°) Les installations provisoires bricolées ne respectant pas les normes, normes qui avaient justifié pourtant la fermeture de tous les petits abattoirs de proximité qui existaient il y a 50 ans. Mais, comme le disait le regretté Cazeneuve ministre des cultes devant le CNCM à propos des abattoirs temporaires, il faut « revoir les procédures trop contraignantes et le coût trop élevé », en clair déroger aux règles communes et financer à l’aide du contribuable. Dans un autre registre Mr Castaner a récemment enrichi cette « jurisprudence » en affirmant la prépondérance de l’émotion sur la loi. 3°) L’importation d’animaux de territoires peu regardants sur le plan sanitaire comme la Roumanie, qui sert de plaque tournante d’un vaste trafic, l’élevage français étant incapable de fournir la totalité des moutons, car il faut que ce soit un mâle d’environ 1 an. Cela pose de plus le problème de transport des animaux sur de grandes distances, en pleine chaleur et donc dans des conditions de maltraitance extrême. 4°) Même dans les abattoirs fixes et équipés, le problème de l’abattage sans étourdissement est un problème de fond et il serait temps pour l’islam de revoir ses pratiques archaïques et, ainsi, rentrer enfin dans la modernité. L’introduction progressive de ces usages exotiques aboutit à une accoutumance progressive des autochtones à la charia, la loi islamique et contribue à isoler les populations musulmanes, loin du « vivre ensemble » prôné par nos médias et politiques : c’est le fameux « séparatisme » qui est pourtant le fondement de l’islam que découvrent, bien tardivement, nos élites. C’est ce travail de lanceur d’alerte et d’eveilleur de conscience que Vigilance Halal mène sans relâche depuis 8 ans. Alain de Peretti

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Encore un petit effort pour remporter une bataille décisive contre l’abattage rituel !

La crise du coronavirus est derrière nous. Mais nous sommes loin d’être hors de danger. Bien que les médias n’en parlent jamais, les contaminations à l’E-Coli par la viande continuent, s’accentuent même, dans notre pays. Chez les personnes fragiles, très jeunes ou âgées, elles peuvent provoquer de graves complications, voire la mort. Par ailleurs, dans nos hôpitaux, les personnes admises pour une infection sont de plus en plus difficiles à soigner. La raison ? Les animaux d’élevage sont gavés d’antibiotiques, et les bactéries dans leurs estomacs deviennent résistantes et plus virulentes. Lorsqu’un médecin se trouve face à un patient atteint de septicémie, il ne sait plus quoi faire si les microbes qu’il doit combattre résistent aux traitements ! Les conditions d’hygiène déplorables dues à l’abattage halal (entraînant le déversement systématique du contenu de l’estomac lors de la saignée) sont la cause de cette diffusion de bactéries résistantes et virulentes dans le milieu extérieur. Elles nous contaminent tous, de proche en proche, jusqu’à l’hôpital ! Il suffit que nous recevions la visite de quelqu’un, d’un ami ou même du facteur, pour qu’elles nous atteignent. Nous devons démontrer ces graves problèmes de santé publique aux commissaires européens. Ils doivent prendre des mesures pour interdire l’abattage sans étourdissement et donc par égorgement, et obliger les établissements à revoir et durcir leurs règles de sécurité sanitaire. Pour cela, vous le savez, nous préparons un dossier à présenter devant la Commission européenne. Il nous coûte très cher à établir, environ 25 000 euros. Il faudra ensuite engager d’autres sommes pour le présenter devant les commissaires. Grâce à votre mobilisation, nous avons recueilli environ 20 000 euros. Merci pour votre soutien ! C’est une vraie démonstration que vous êtes sensible à cette cause, et que vous vous préoccupez de l’avenir de vos proches, de votre santé, du destin de notre civilisation. Il ne nous manque que quelques milliers d’euros pour finaliser notre action, en consultant et synthétisant les données scientifiques, en établissant un rapport irréfutable. Plus que quelques milliers d’euros pour porter notre combat devant les grands décideurs ! Je fais à nouveau appel à vous : s’il vous plaît, aidez-moi à boucler le rapport scientifique et saisir la Commission européenne en faisant un don à votre association (déductible fiscalement). Poursuivons l’élan et franchissons le dernier obstacle : si nous parvenons à nos fins, nous pourrions provoquer un véritable tremblement de terre sur notre continent ! Je vous remercie d’avance pour votre participation, Alain de Peretti

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Au sujet du Coronavirus et de l’abattage rituel dans les abattoirs

Ces dernières semaines de nombreux « clusters » (pourquoi ne pas dire « foyers » ? !) d’infection   dans les abattoirs par le fameux coronavirus, vedette des médias, ont défrayé la chronique, en France mais aussi dans de nombreux pays. Aussitôt, des associations  et groupes « végans » ont dénoncé la responsabilité de la consommation de viande dans la genèse de toutes les maladies. Comme si les végétaux, notamment dans les structures de type industriel, n’étaient pas eux aussi à l’origine de nombreuses intoxications et pathologies : entre autres, aflatoxines et mycotoxines, ergot de seigle, colibacilloses, salmonelloses etc. Mais passons, l’inculture et le dogmatisme sectaire de ces groupes de bobos citadins est insondable. Ils pensent sans doute que la nature est bonne, et que la vie est un long fleuve tranquille. Ces foyers s’expliquent, de façon rationnelle cette fois, par divers facteurs : 1° les conditions d’environnement dans un abattoir sont favorables à la diffusion des germes et virus, du fait de l’humidité et du froid, ou tout le moins des variations importantes de température dans les frigos. Le mélange d’animaux venant de tous horizons, parfois lointains, et porteurs de germes et virus  est aussi un facteur important. 2° Les abattoirs sont des lieux où l’hygiène est fondamentale, surtout les grandes structures industrielles, du fait de cette activité spécifique. Napoléon, d’ailleurs, avait pris un décret d’éloignement des abattoirs des centres villes pour des questions d’hygiène. La moindre faute d’hygiène se paie cash ! C’est pour cela que l’abattage rituel est à bannir de façon absolue du fait des souillures qu’il entraîne. Or la plupart des abattoirs pratiquent maintenant de façon massive cet abattage. Nous avons d’ailleurs commandé un rapport d’expertise sur l’antibiorésistance et la virulence des souches de germes d’origine animale qu’on rencontre maintenant en médecine de ville et hospitalière. Il semble maintenant probable que la généralisation de l’abattage rituel soit à l’origine de ces problèmes graves. 3° Le personnel est un des éléments le plus important. Le travail est ingrat, mal payé, et le recrutement est difficile. Il est de plus en plus fait appel à de la main d’œuvre immigrée, sans formation, comprenant mal les consignes, habituées à des normes d’hygiène peu contraignantes. Ils sont logés dans des foyers où la promiscuité est importante. Il est donc prévisible que le coronavirus s’y developpe  facilement du fait de toutes ces conditions. Le Pr Raoult parle d’ailleurs de maladies d’écosystème à propos de ces virus respiratoires saisonniers. Nous y sommes ! Au sujet du Pr Raoult, et pour conclure voici une anecdote en relation avec notre sujet  qui illustrera le rapport hygiène de l’abattoir et santé humaine. Il y a démontré  sa haute compétence médicale, qui consiste à observer de façon pragmatique sur le terrain. En 1996 sévissait à Briançon une épidémie de Fièvre Q, maladie grave commune à l’homme et aux animaux. L’origine de cette épidémie restait mystérieuse malgré toutes les recherches. Le Pr Raoult fût donc appelé et se rendit sur place. Après une enquête de 2 jours où il a arpenté toute la ville, il a trouvé l’origine : l’abattoir de la ville qui se trouvait à proximité de la base d’hélicoptères de la gendarmerie. Le brassage de l’air par les pales des hélicoptères diffusaient sur de grandes distances les germes de l’abattoir jusqu’à la ville. Il y eut un conflit avec le maire de Briançon, un vétérinaire, qui ne voulait pas reconnaître la responsabilité de l’abattoir ! Cela ne vous rappelle rien ? Alain de Peretti

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Affaire Eric Dick : nous ne lâchons rien !

Le combat contre le halal est un combat titanesque car nous le menons sans l’aide des grands médias, et que l’ensemble du système, par lâcheté, opportunisme, ignorance, soumission au politiquement correct nous mets des bâtons dans les roues. J’en arrive à la conclusion que l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République, protégée, chouchoutée et subventionnée de façon éhontée dans un pays qui se dit laïque. Nous avons choisi dès le début la voie judiciaire, car nous croyons à l’état de droit, peut-être de façon un peu naïve… Vous vous souvenez sans doute de l’histoire d’Eric Dick, ce lanceur d’alerte qui a dénoncé l’irruption du halal dans les sandwichs de La Mie Câline. Il dénonçait, à juste titre, les rapports de l’argent du halal et le financement du terrorisme. Trainé au tribunal pour diffamation, il écopait d’une lourde peine en première instance. Nous avons pris à ce moment-là le dossier en main, et notre avocat, Maitre Yon, en appel à Poitiers, a obtenu une diminution par 10 des pénalités. Cette décision ne nous convenait pas car nous exigeons la relaxe totale, Eric Dick ayant fait lors  de son enquête un travail très honnête, et demandé à La Mie Câline un rendez-vous pour défendre sa position, rencontre qu’elle avait refusé. Le jugement étant à notre avis entaché de nombreuses irrégularités nous sommes allés en cassation et nous avons perdu… Mais nous ne lâchons rien, et avons pris la décision d’aller devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, nous considérons en effet que dire que le halal finance le terrorisme est basé sur des sources concordantes et sérieuses, et ne peut être considéré comme diffamatoire. Cette affaire est emblématique et permettra de démontrer à toutes ces entreprises aveuglées par leur mercantilisme que leur responsabilité pourra être recherchée lorsque les choses seront revenues à l’endroit dans notre pays ! Elles deviendront de ce fait beaucoup plus prudentes avant de succomber aux sirènes du halal. Alain de Peretti

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Le halal encore plus dangereux en période de pandémie !

Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici La viande halal fait courir un risque sanitaire plus élevé encore que d’ordinaire, à nous et nos proches, à tous nos compatriotes, au moment où sévit le COVID-19. La section de l’œsophage entraîne des régurgitations stomacales, qui contiennent des quantités de bactéries. Ces microbes diffusés lors de l’abattage halal se retrouvent dans le milieu extérieur. Les animaux d’élevage étant gavés quotidiennement d’antibiotiques, les bactéries deviennent plus en plus résistantes à ces derniers. On peut tracer ces souches microbiennes, parfaitement identifiées, jusqu’à l’hôpital, où elles représentent 95% des cas d’antibiorésistance. Elles posent des problèmes insolubles aux médecins lorsqu’ils veulent traiter des infections, même banales. Le halal constitue donc en temps normal et à fortiori en cette période de pandémie, une mise en danger supplémentaire ! Il faut en effet très souvent associer un antibiotique en cas d’attaque virale pour lutter contre les complications. L’Organisation mondiale de la Santé classe d’ailleurs l’antibiorésistance dans les problèmes majeurs de santé à l’hôpital. Nous devons faire cesser cela immédiatement !Seule la Cour de Justice européenne s’avèrera efficace pour le stopper: elle a déjà permis d’interdire les abattages juifs et musulmans en Belgique flamande. Nous devons saisir la Commission et prouver aux commissaires européens qu’ils font courir un vrai risque aux consommateurs en autorisant l’abattage sans étourdissement en période de pandémie, où nos corps sont fragilisés par le virus. Pour aboutir, notre requête doit s’appuyer sur un dossier en béton. Cela implique de rechercher et consulter des documents scientifiques et des études réalisées sur le sujet, payants, d’entamer une procédure coûteuse. Nous avons missionné pour ce dossier un expert de renom, habitué des gros dossiers de sécurité sanitaire, le Dr Jean Louis Thillier (vache folle, amiante). Le devis prévisionnel de cette action de grande envergure est de l’ordre de 20 000 euros. Parallèlement , bien sûr, nous allons mener une vaste action de lobbying auprès des élus et des médias. C’est la raison de mon courrier de ce jour : aidez-nous, en faisant un don, à saisir la Commission européenne avec un rapport solide, argumenté et irréfutable scientifiquement. Si nous parvenons, comme en décembre 2018, à obtenir gain de cause, l’effet pourrait être révolutionnaire pour notre pays. Nous devons cela à nos proches, à tous nos compatriotes, mais aussi et surtout à nous-mêmes ! Je vous remercie pour ce que vous pourrez faire. Dr Alain de Peretti, président de Vigilance halal Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici

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Coronavirus face à Corano-virus islamique

« Le coronavirus nous a montré quelles sont nos vraies priorités. Combattre l’islamisme ne semble pas en faire partie.« La lecture d’un très intéressant article de Driss Ghali dans Causeur intitulé « Grand corps malade » confirme les réflexions de bon sens qu’on peut déduire de la crise actuelle du coronavirus et de la crise ancienne et à venir de l’islamisme. https://www.causeur.fr/coronavirus-islamisme-grand-corps-malade-174493 Il est d’ailleurs curieux de voir que les principales réactions salutaires contre la montée de l’hydre islamiste émanent de personnes qui connaissent l’islam de l’intérieur. La crise sanitaire semble avoir effacé les questionnements et la prise de conscience qui semblait commencer à poindre dans les médias et la population. La survie de nos carcasses humaines a effacé le danger pourtant mortel lui aussi de la disparition de notre civilisation. Beaucoup de commentateurs ont d’ailleurs évoqué à propos du confinement et de la privation de libertés qu’on nous impose une possible manipulation de masse… L’islamisme est un virus mortel ! Revenons à notre propos. Mohannad Sabbah, par exemple, blogger irakien ecrivait le 1er Juin 2019 sur le blog El Sada.net :  » La bombe islamique se distingue des autres, c’est qu’elle est imprégnée d’une multitude de virus très dangereux, comme l’interdiction, l’obligation, le halal (le licite), le haram (l’illicite), le paradis, le feu de l’enfer. Mais elle se distingue aussi par le djihad, la fornication, l’esclavagisme sexuel, l’esclavagisme humain, le sectarisme, la discrimination, le mensonge, la dissimulation, l’hypocrisie, l’intimidation, le meurtre, les houris, les fatwas, etc.  » […] « Ces virus provoquent l’émergence de germes et de bactéries étranges appelés « hommes de religion, muftis, prédicateurs, imams, chouyoukh , oulémas, mollah, ayatollah, etc. ». Il conclut son article en disant : » Que les non-musulmans, notamment les Occidentaux, prennent au sérieux et réfléchissent à ce que des musulmans libéraux et ex-musulmans éclairés et courageux disent publiquement de leur islam ! » Vous pouvez retrouver ce texte, ainsi que de nombreux autres dans l’excellent ouvrage paru aux éditions Riposte Laïque « L’islam mis à nu par les siens » de Maurice Saliba. le salut nous viendra des anciens musulmans ! Guérir notre SIDA mental Sans vouloir minimiser les dangers du coronavirus, ce dernier ne s’attaque qu’à nos corps et, même si les dégâts s’avèrent importants, il passera. Or, les dommages causés par le « coranovirus » ont commencé il y a 14 siècles et semblent même s’accélérer. Et là ce sont nos esprits et notre âme, qui sont attaqués, notre civilisation qui est menacée. En intitulant son article « Un grand corps malade », Driss Ghali rejoint Louis Pauwels qui avait déjà détecté il y a 30 ans cette perte d’anticorps de nos sociétés occidentales et l’avait comparée à du SIDA mental, ce qui lui avait valu une volée de bois vert médiatique. Notre réaction à cette pandémie en dit long sur notre société bisounours. Nous nous trouvons confrontés en effet à deux problématiques qui avaient totalement disparu des radars dans un ronron quotidien qui laissait croire à la fin de l’histoire et à une humanité maitresse de son destin grâce au marché mondial: la première est notre propre condition humaine confrontée à la nature, à la violence, la mort et au tragique qui devrait nous imposer la modestie et l’humilité; ensuite et surtout notre vide spirituel, qui explique la disparition de tous nos anticorps face au « coranovirus islamique » . Malraux le visionnaire ne disait il pas  » le 21e siècle sera spirituel ou ne sera pas ». Le matérialisme consumériste et marchand, « l’homo festivus » du « tout à l’ego » de Philippe Murray sont maintenant confrontés aux vraies questions existentielles et essentielles. Nous sommes donc à un tournant décisif : soit nous continuons sur la voie de la décadence en refusant les remèdes efficaces, soit notre immunité se réveille et tout est possible. C’est le challenge qui nous est proposé face au corona et au corano ! Et pour cela nous devons tenir compte des enseignements du passé pour prépare l’avenir. Ce n’est pas par nostalgie mais parce qu’un arbre sans racines est voué à la mort. Et pour conclure je voudrais citer Sylvain Tesson dans son dernier roman, « La panthère des neiges » dont je vous recommande la lecture : « J’avais toujours eu l’âme faible et influençable. Je me conformais aux spiritualités des lieux où j’atterrissais.Qu’on me jette dans un village yazidi, je priais le soleil.Qu’on me propulse dans la plaine gangétique, je m’accordais à Krishna. Séjournant dans les Monts d’Arrée, je rêvais de l’Ankou. Seul l’islam n’avais pas de prise, je n’avais pas de goût pour le droit pénal « Alain de Peretti

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Halal et services de l’Etat : la collusion de plus en plus évidente

Depuis 2012, l’association que j’ai l’honneur de présider ferraille devant les tribunaux pour mettre en accusation les services de l’Etat, préfectures, ministère de l’Agriculture. En effet quand vous lisez la prose rébarbative des textes règlementaires tout est prévu, il ne manque pas « un bouton de guêtre »  comme disait le général  Leboeuf  (sic…)  avant la déroute de Sedan en 1870. C’est un peu comme les décors pimpants des villages Potemkine. Tout serait sous contrôle, et lors des nombreuses actions judiciaires que nous avons menées depuis 2012 cet argument nous a systématiquement été opposé par les tribunaux. Jusqu’à notre victoire en Décembre 2018 devant la cour d’appel administrative de Paris, dont les décisions ne sont toujours pas appliquées par le préfet de Seine et Marne.  Nous avons fait la démonstration du non-respect de ladite législation. Nous savons par ailleurs que la dérogation à l’étourdissement est systématiquement contournée dans tous les abattoirs pratiquant le halal. Lors de l’Aïd 2015, dans les Bouches du Rhône un document préfectoral arborait fièrement de part et d’autre du logo de la République le logo de l’islam (croissant et étoile) et le logo du CRCM. Lors de l’Aïd 2016, devant le Conseil d’Etat, le ministère de l’Agriculture dans son mémoire argumentait sur les risques de troubles à l’ordre public si on interdisait les abattoirs temporaires. Pas de vagues, ne gênons en rien ces représentants de la RATP si stigmatisés en permanence… Pour l’Aïd 2019, enfin, à Mulhouse, le SIVOM organisait officiellement le ramassage des déchets d’abattage des moutons abattus illégalement à la maison, se faisant complice d’un grave délit et mettant en péril la salubrité publique. Tous ces détails pris entre des centaines pour planter le décor et  pour démontrer la complicité des « autorités » sanitaires, si tatillonnes par ailleurs lorsqu’il faut construire un poulailler par exemple. Mais là il s’agit de l’islam… Et celui-ci semble en bonne voie pour devenir la religion officielle de la République ! Le dernier scandale de l’abattoir de Boulazac en Dordogne, que j’ai analysé dans un précédent article est en train de démontrer s’il en était encore besoin cette véritable forfaiture de l’Etat. Tout d’abord la réaction de la Préfecture de Dordogne dès mercredi 19 février :au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal Sud Ouest du20 Février) Ensuite, le ministère de l’Agriculture confirme officiellement cette analyse, il faut bien se serrer les coudes dans l’adversité…. Mais, pas de chance, des mails arrivent par erreur à l’association L214, émanant du ministère, parlant de graves dysfonctionnements et des non conformités majeures. Ça fait désordre ! Le ministre de l’Agriculture, interpellé au salon de l’Agriculture en perd son sang-froid et réagit de façon virulente. Une enquête interne sera malgré tout diligentée et aboutira à la suspension administrative de cet abattoir. Lorsqu’on va sur le site de la Sobeval, la bientraitance animale fait partie des priorités. Dans un article du journal Sud-Ouest de Novembre 2016, interrogé sur le scandale de l’abattoir de Limoges, le directeur, Gilles Gauthier, déclare que cela ne pourrait pas arriver dans cet abattoir, que les animaux meurent en 1 seconde, et que …les camions de transport sont neufs. L’abattoir est classé en 2e catégorie et doit passer, en 2017, en 1e catégorie. Cet article est intéressant car il n’est nullement fait mention de l’abattage rituel, on ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu ! Il est intéressant de se pencher sur les protagonistes : après le décor, les acteurs ! Mr Gilles Gauthier, le directeur de l’abattoir est dirigeant de 9 sociétés réparties sur tout le territoire, dont Van Drie France, Schils France filiales d’un grand groupe néerlandais. Il est également le président de la puissante Fédération des Entreprises de la Viande. La puissance financière de ces consortiums permet de peser de façon efficace sur les pouvoirs publics par un lobbying de tous les instants. Corruption ? Népotisme ? Fraternité maçonnique ? Cette fois ci l’abattage halal et casher ayant été clairement mis en cause, les contre feux se mettent en branle : le Dr Jean Luc Angot, vétérinaire de la fonction publique, président du Comité National d’Ethique des Abattoirs (quand je lis le mot « éthique » je me méfie…) va entamer un numéro d’équilibriste dans une tribune intitulée « Un consensus peut être trouvé sur l’abattage rituel ». Après avoir enfilé quelques banalités, il nous ressort l’étourdissement après égorgement, véritable arnaque scientifique car n’empêche pas la section de la trachée et de l’œsophage caractéristique de l’abattage rituel et les graves problèmes sanitaires qui en découlent, et les 40 secondes prévues dans ce protocole expérimentale sont bien longues pour un animal en agonie. D’ailleurs il n’évoque même pas les problèmes sanitaires. Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume déclare lors de son arrivée au ministère : « Moi, ministre de l’Agriculture, les lobbys ne pourront pas franchir la porte de mon ministère ». Inspecteur des impôts c’est un cacique du parti socialiste. Les lobbies de l’abattage rituel ont certainement fait exception. Elu de la Drôme, il se parachutera à Biarritz pour les municipales, et se retirera sur pression d’Emmanuel Macron. On peut mesurer sur cette affaire le mélange explosif d’incompétence, de lâcheté, d’affairisme politique et financier, et donc au final la complicité pour crime contre les animaux, les consommateurs, les bouchers et les éleveurs. Cette alliance objective entre le mercantilisme financier et l’obscurantisme religieux permet au halal de s’installer tranquillement, et donc à « l’islamic way of life », c’est-à-dire la charia de faire son nid dans notre société tel un coucou parasite. L’Etat dans ce domaine comme dans tant d’autres n’est plus qu’un parasite coûteux, omnipotent et impotent, et on se prend à rêver d’un grand chamboulement pour remettre les choses en place. Alain de Peretti Crédit photo : DR [cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 

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Scandale de l’abattoir SOGEVAL : on avance enfin!

Un scandale de plus dans un abattoir, suite à une vidéo de L214. Mais cette fois ci, l’abattage « sans étourdissement » est clairement mis en cause, à la fois par cette association, que nous félicitons, mais aussi par les medias. Cette prudence de langage désigne bien sûr l’abattage rituel, halal et casher, sachant que le halal constitue l’essentiel des abattages.  Et comme dit le philosophe Olivier Rey, à partir d’une certaine échelle la quantité modifie la nature d’une chose. Sur les plateaux les débats tournent autour du thème : « faut-il interdire l’abattage halal ? » Réponse oui à plus de 85% ! Cette vidéo est riche d’enseignements Tout d’abord en matière de souffrance, les images sont sans appel : les animaux se débattent alors qu’ils sont suspendus .  Ce ne sont pas des réflexes comme l’affirmait sur un plateau  avec mauvaise foi un partisan de l’abattage rituel car les animaux, la gorge tranchée cherchaient à relever la tête ce qui est caractéristique d’un état de conscience. Tous les animaux passent par le piège rotatif, caractéristique de l’abattage rituel, et ceux qui sont étourdis le sont de façon irrégulière pour deux raisons : 1° la position face à l’animal dont la tête n’est pas immobilisée entraine des mouvements de retrait de l’animal qui rendent l’opération aléatoire, 2° les opérateurs qui pratiquent au quotidien l’abattage rituel ne sont certainement pas entrainés,  s’accoutument à la souffrance animale, voire même s’en fichent complètement… Le scandale dont on ne parle jamais, est l’effondrement de l’hygiène, bien visible sur la vidéo : du sang partout, des animaux traînés par terre, des régurgitations de contenu de l’estomac. Ce dernier est riche en bactéries antibio-résistantes  qui seront  disséminées à tous vents.  Ceci est lié à la section, lors de la saignée, de l’œsophage et de la trachée interdites pour raisons d’hygiène par la loi sauf…pour raisons de pratique religieuse.  Or les problèmes d’antibio-résistance sont reconnus par toutes les instances sanitaires comme un problème majeur de la médecine. Vigilance Halal a d’ailleurs commandé une expertise officielle sur ce sujet au Dr Thillier, expert judiciaire européen indépendant reconnu en sécurité sanitaire (procès de l’amiante et de la vache folle entre autres). Son rapport sera disponible fin Avril et servira de base à une action devant la Cour de Justice de l’Union Européenne. La réaction des « autorités » sanitaires est affligeante : la préfecture de la Dordogne indiquait dès mercredi 19 février qu’au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste  et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal  Sud Ouest du20 Fevrier). Je tiens à leur disposition, en tant qu’ancien vétérinaire inspecteur des abattoirs la liste des infractions repérables sur la vidéo notamment en matière sanitaire. Incompétence, paresse, complicité, malhonnêteté, corruption… ? Toutes les hypothèses sont possibles. Mais nos actions judiciaires nous ont permis, au bout de 7 ans de procédures, de démontrer qu’il n’y avait aucun contrôle de l’usage de la dérogation à l’etourdissement !!! Cet abattoir ultra moderne de la société SOBEVAL est la propriété de la multinationale néerlandaise VANRIE, leader mondial de la viande de veau. C’est le symbole de l’évolution de notre société où la puissance financière entraîne toutes les dérives. Au détriment d’ailleurs des intérêts des éleveurs, des bouchers et des consommateurs. Ce scandale résulte de l’alliance du mercantilisme et de l’obscurantisme religieux que Vigilance Halal dénonce depuis sa création en 2012. Se pose maintenant la question de l’interdiction de ce mode d’abattage.Il faudra du courage politique…, encouragé par un vaste mouvement d’opinion : réveillons-nous ! Il faut que le public sache que seul l’étourdissement de l’animal permet une saignée précise et propre épargnant la trachée et l’œsophage car l’animal ne bouge pas. On allie ainsi hygiène et respect de l’animal : si on étourdissait seulement l’animal en laissant pratiquer un égorgement rituel complet le scandale sanitaire persisterait. C’est ce que nous essayons, pour l’instant en vain, de faire comprendre aux associations de protection animale qui ne veulent voir que l’étourdissement. Le justificatif religieux de toutes manières n’est pas recevable : si les mayas ou les aztèques étaient encore parmi nous laisserions nous pratiquer les sacrifices humains ? La modernité n’a pas que des bons côtés, mais il serait malgré tout judicieux que certaines religions en acceptent les progrès scientifiques. Alain de Peretti

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Alain de Peretti : « Le halal est un puissant moyen de contrôle social des populations musulmanes par les salafistes » [Interview]

L’année 2020 s’ouvre, et les opposants à la diffusion du halal dans la société française ne désarment pas. Ainsi l’association Vigilance Halal mène actuellement plusieurs combats judiciaires pour faire entrave à ce qu’elle nomme « l’halalisation de notre société ». Nous avons fait le point à ce sujet, avec Alain de Peretti, infatigable président. Breizh-info.com : Quel bilan tirez vous de l’année 2019 de Vigilance Halal ? Quelles actions avez vous mené ? Alain de Peretti (Vigilance Halal) : 2019 a été une année intense sur tous les plans avec une quinzaine de conférences dans toute la France, pour toute sortes de mouvements et associations ( rappelons que VH est apolitique, c’est à dire sans aucune autre attache politique que d’être au service du bien commun et de notre civilisation), une intensification de nos actions judiciaires ( 35 actions en cours ) et des actions de lobbying auprés des parlementaires, au printemps avec un courrier les alertant sur l’absurdité d’une taxe sur le halal pour financer l’islam, et une action de masse auprès du president de l’assemblée nationale où nous avons incité nos adhérents ( plus de 16 000) sympathisants et contacts en leur proposant d’écrire au président de l’assemblée nationale pour déterrer une proposition de loi de Nicolas Dupont-Aignan, déposée en Avril dernier, demandant que le mode d’abattage soit indiqué sur la viande et tous les produits carnés dans les produits préparés. Plus de 10 000 lettres ont d’ores et déjà été envoyées. Nous allons envoyer début Février une lettre à tous les députés pour les inciter à appuyer cette légitime demande d’étiquetage, en insistant sur la responsabilité sanitaire des législateurs, ignorée, malheureusement , dans les considérant du projet de loi. D’ailleurs, j’estime que les associations de protection animale en mettant le focus uniquement sur la souffrance animale dont les tenants de l’abattage rituel nient la réalité, et en refusant d’engager la réflexion sur l’aspect sanitaire et civilisationnel, ont contribué à retarder l’évolution du dossier. Lire la suite ici

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