Alain

Un scoop : nous mangeons halal sans le savoir !

Une fois de plus, la presse main-stream, en l’occurrence l’Express, découvre l’eau tiède : Nous mangeons halal et casher sans le savoir !! Récemment les médias se sont alarmés également de la montée de revendications religieuses dans les écoles y compris maternelles, pourtant largement documenté depuis des années… Le réel rattrape tout ce microcosme de la « classe parlante » sans que, pour autant, cela ne génère des actes appropriés de la part des pouvoirs publics ni de conclusions pertinentes de la part de nos commentateurs médiatiques. L’exemple caricatural en est un certain Clément Viktorovitch, habitué des plateaux médiatiques. En l’occurrence, la demande d’étiquetage du mode d’abattage est ancienne, et légitime. Elle devrait être faite en clair et non par un code. Cela correspondrait à la législation qui accorde à titre dérogatoire seulement la possibilité d’abattre halal ou casher, uniquement sur commande, consignée dans un registre spécifique. Ce point a été utilisé par Vigilance Halal pour attaquer devant les tribunaux administratifs les arrêtés préfectoraux pour certains abattoirs ( dont celui de Meaux, affaire en appel, initiée en 2012 !). Mais il nous a systématiquement été répondu en justice que ces registres étaient des documents commerciaux non communicables. Le député de l’Aube Nicolas Dhuicq avait déposé en 2011 et 2014 des projets de loi dans ce sens, toujours rejetés car il ne faut pas… stigmatiser et cela serait catastrophique sur le plan financier car le circuit traditionnel n’absorberait plus les excédents de halal et casher. Il faut d’ailleurs relativiser le casher qui représente maintenant moins de 1% de la viande rituelle et en baisse continue. Le problème est bien lié essentiellement au halal, marqueur essentiel de l’islamisation, car le halal c’est la charia ! Mais le « système » en agglomérant les deux noie la problématique de la submersion par le halal, qui représente maintenant plus de 60 % des abattages. En Provence on appelle ça la recette du « pâté d’alouette » : une alouette de casher plus un cheval de halal… Cette indication essentielle pour nombre de consommateur ( plus de 70 %)est demandée par notre association, à titre transitoire en attente de l’interdiction totale et définitive du halal en raison des problématiques cumulées de souffrance animale inutile, de scandale sanitaire car ces pratiques s’affranchissent de la législation en la matière, et de circuits financiers importants et opaques finançant l’islam . Sur ce point on aimerait entendre les associations de consommateurs, et de protection animale. Mais surtout , il faut le rappeler sans cesse, le halal est une notion globale liée à la charia, système juridique totalement incompatible avec le notre ( voir entre autres l’arrêt de la Cour Européenne des droits de l’homme du 31 Juillet 2001) Devant l’inertie des pouvoirs publics, nous avons créé « Suivez le Coq » qui regroupe les bouchers attestant que la viande qu’ils vendent est abattue de façon traditionnelle. Nous engageons les lecteurs de Boulevard Voltaire à visiter le site suivezlecoq.fr avec son système de géolocalisation, à télécharger l’application smartphone et à inciter leur boucher à y adhérer. C’est une forme d’étiquetage citoyen qui nous vaut pour le coup d’être étiquetés « islamophobes » sans vergogne ! Et puis se pose une question de fond : ces interdits alimentaires ne sont ils pas largement obsolètes au XXIe siècle ? Le problème d’actualité ne serait il pas plutôt la dégradation de la qualité de notre alimentation (parfaitement compatible avec le halal et le casher d’ailleurs…) plutôt que sa « pureté » rituelle ? Et pour conclure, en paraphrasant Segolène Royal, « l’halalitude n’est t’elle pas le prélude à la dhimmitude « ?

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Aïd el Kebir 2018 : le village Potemkine, comme d’habitude !

Comme chaque année, c’est le grand n’importe quoi de l’Aïd. Malgré toutes les facilités accordées et les contorsions, les remontées du terrain démontrent que les pratiques culturelles et culturelles de l’islam ne peuvent pas s’insérer dans notre vie quotidienne. Ce n’est pourtant pas faute d’un matraquage médiatique du type « tout va très bien Madame la marquise » ou du type village Potemkine. La littérature administrative abondante, ainsi que les déclarations des autorités montrent une maîtrise sans faille de la « chose ». Il ne « manque pas un bouton de guêtre » Un des principaux problème est la multiplication des abattoirs temporaires ( et non mobiles comme énoncé souvent de façon erronée). Ils ne peuvent pas assurer des conditions sanitaires correctes, sachant qu’un abattoir est une installation classée, donc dangereuse selon le classement Seveso. Les abattoirs perennes seraient parfaitement en mesure d’assumer cet abattage si les 3 jours effectifs  négociés  avec les « autorités » musulmanes étaient effectifs, mais tous les musulmans veulent abattre le premier jour, d’où un relatif encombrement. Une fois de plus cette population dicte « sa » loi, c’est à dire la charia.Un arrêt du 29 Mai 2018 de la Cour de Justice de l’Union Européenne sur une question préjudicielle émanant d’associations musulmanes de Flandres où les abattoirs temporaires sont maintenant interdits a donné raison aux autorités, et confirmé les dangers sanitaires des abattoirs temporaires. Cet arrêt devient donc ipso facto un règlement applicable dans toute l’Europe, et donc…en France. Nous n’avons pas pu actionner la justice suffisamment rapidement avant les vacances pour agir sur l’Aïd du 21 Août, à l’exception de Montpellier où nous avions une décision à attaquer au Tribunal administratif. Si notre recours en référé suspension a été rejeté au motif que toutes les autorisations sont à jour, l’examen au fond sera fait et d’ici l’an prochain. Et surtout, nous allons attaquer les organisateurs privés devant les tribunaux de grande instance. La multiplication, cette année encore, des cas de trafic d’animaux détenus de façon irrégulière et rapportés par la presse démontre, s’il en etait besoin que ces pratiques déjà dérogatoires, sont in-encadrables par des services débordés et ne désirant pas se mêler d’affaires concernant une communauté « ombrageuse » Une vidéo de l’association Stephane Lamart qui effectue le sauvetage d’un mouton dans un local poubelle après avoir alerté sans résultat le procureur et la DDPP ( services vétérinaires) ainsi que des retours de nos délégués notamment en Corse où les gendarmes leur ont dit qu’ils avaient des ordres de la Préfecture de ne pas intervenir, démontrent bien qu’il y a un abîme entre les intentions affichées dans les textes et les actes. Dans son mémoire en réponse pour un référé suspension plaidé devant le conseil d’État, en 2016, le ministre de l’Agriculture avait bien noté à 2 reprise que les mesures que nous préconisions entraîneraient des troubles à l’ordre public ! Tout est dit… Nous glissons donc de la dérogation initiale à l’application progressive de la charia, le halal étant une manière de jihad soft accoutumant la société d’accueil à la charia. Nous sommes par ailleurs sur un gros dossier dans le Var de trafic de moutons importés, nous vous tiendrons au courant. Autre problématique : la protection de l’enfance. Les abattoirs temporaires acceptent, contrairement aux abattoirs pérennes, la présence des familles avec les enfants, pour souscrire à l’usage du mouton sacrifié par le père de famille. Cette accoutumance dès la tendre enfance à l’égorgement sanglant n’est pas seulement culturel, mais aussi cultuel : Un hadith authentique relate des paroles menaçantes de Mahomet et sans ambiguïté : « je suis venu à vous par l’égorgement ». L’actualité montre la multiplication d’actes criminels qui sont la signature de l’origine de leurs auteurs, même si les médias cherchent à cacher ou à édulcorer la chose, et il est difficile de ne pas faire une relation… Heureusement, quelques voix bien faibles dans l’islam appellent à une évolution des mentalités, et notamment à transformer le sacrifice du mouton en un don en argent pour les plus démunis. Cette évolution ne pourra se faire que si nous abandonnons l’attitude laxiste , voire même complice, vis à vis des usages d’un islam bloqué au VIIe siècle. Alain de Peretti. Président de Vigilance Halal

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Norme halal, l’AFNOR jette l’éponge : «Mektoub»!

Le 27 Janvier 2016, je participais à une réunion sur le projet de norme halal dans les locaux de l’AFNOR ( Agence Française de NORmalisation) . Je ne fus plus jamais invité par la suite… Un accrochage avec Florence Bergeaud Blackler en est la cause ; elle m’accusa de dénoncer l’islamisation par le halal et d’être islamophobe, ce à quoi je lui rétorquais : «vous êtes donc pour l’islamisation de la France!». Cette sociologue a écrit un livre dénonçant, à juste titre, l’affairisme autour du halal mais en passant sous silence son aspect islamique pourtant évident. J’avais en effet développé au cours du débat le fait que le halal était impossible à normer selon des critères scientifiques et juridiques habituels. La suite vient de me donner raison ! Cette réunion fût riche d’enseignements car j’appris qu’il y avait des rivalités innombrables entre les associations «représentatives » des musulmans, des rivalités géopolitiques entre l’Arabie Saoudite et la Turquie pour imposer leur emprise sur la «norme» et assoir leur domination sur le monde musulman pour un futur califat. Les nombreuses réunions précédentes n’avaient pu aboutir. Bref, en l’occurrence, nous étions une fois de plus confrontés à l’Orient compliqué avec tous ses enchevêtrements politiques, religieux et financiers. Et surtout, il ne faut jamais oublier que le terme «halal» veut dire licite, autorisé, pur, et ces critères sont établis par la charia, loi divine issue du coran, donc intangible, insécable et non négociable. Il ne s’agit pas uniquement de l’abattage des animaux et de l’alimentation mais de tous les actes de la vie. Cette loi islamique, rappelons-le, prévoit, entre autres joyeusetés, la lapidation de la femme adultère, la peine de mort pour apostasie, l’amputation de la main du voleur, les règles de succession défavorisant les filles, l’infériorité de la femme et son impureté fondamentale, le partage du butin de guerre et d’une manière générale tous les actes de la vie, même les plus triviaux. On oublie systématiquement cet aspect de l’islam en Occident, notre prisme d’analyse chrétien influence beaucoup de nos contemporains dans leur incompréhension de l’islam. Ce système juridique est totalement incompatible avec nos lois basées sur le droit «positif» : pour que l’islam soit soluble dans la République, il devrait abandonner la charia, mais serait-ce encore l’islam? Plus outre, il est inconcevable pour tout musulman, fût-il modéré, que des «kouffar» (kafir au singulier, c’est-à-dire mécréants) mettent leur nez dans leurs règles juridiques divines (« Vous êtes la meilleure communauté, qu’on ait fait surgir pour les hommes. Vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. » (S.3/V.110) Il était donc parfaitement logique que la norme halal établie au forceps en Septembre 2017 par l’AFNOR soit attaquée de façon virulente par l’ensemble des organisations musulmanes (même modérées…) et que l’AFNOR jette l’éponge 7 mois plus tard en retirant de son catalogue, le 19 avril dernier, la norme alimentaire halal. Cet épisode en dit long sur l’impossibilité, dans la configuration actuelle de l’islam, et dans l’ensemble de ses divers courants, de s’adapter à la modernité. Le halal est donc bien cette alliance de l’affairisme mercantile et de l’obscurantisme islamique que nous dénonçons à Vigilance Halal. Il est surtout une arme au service de l’islamisation du monde comme le proclamait Mustafa Ceric, grand mufti de Bosnie et membre éminent des frères musulmans à la tribune du congrès halal mondial à Islamabad en Décembre 2010, et il figure en bonne place dans la stratégie culturelle ouvertement exposée par l’ISESCO (équivalent de l’UNESCO pour les 57 pays musulmans de l’OCI)

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Suivez le coq, une initiative citoyenne de Vigilance Halal

Il y a bientôt 1 an, nous adressions un courrier à 5000 bouchers pour les soutenir et leur expliquer que la généralisation de l’abattage halal était en train de saper le lien de confiance avec leur clientèle. Nous les avons incité à prendre en main leur destin. Près de 400 d’entre eux nous ont répondu en adhérant à notre démarche, qui incluait également des conditions d’elevage traditionnelles c’est-à-dire excluant les élevages concentrationnaires industriels. Une affichette a été éditée à cette occasion pour ces bouchers . Nous avons voulu pousser plus loin en créant un site de recherche avec géolocalisation des bouchers s’engageant à ne vendre QUE de la viande garantie non halal. Cette initiative a pour but, entre autres, de leur donner un avantage commercial basé sur une notion éthique. Le site « SUIVEZ LE COQ » est né et, après de multiples petits problèmes techniques il est maintenant opérationnel . https://www.suivezlecoq.fr/ . Une application pour androïd est disponible et bientôt pour iphone et ce site est appelé . Il permet également de connaître le statut des abattoirs, soit mixtes, soit totalement traditionnels, le but étant d’exercer une pression sur les abattoirs mixtes pour qu’ils évoluent vers le tout traditionnel. En attendant l’interdiction totale de l’abattage rituel… Mais là c’est du ressort des politiques, pour l’instant seule Marine Le Pen s’est déclarée nettement en faveur de l’interdiction, et, beaucoup plus timidement, François Fillon. Participez à l’action « citoyenne » de Vigilance Halal chez les bouchers. Abandonnés par le système, la seule alternative est d’agir par nous-mêmes. L’aspect invasif de la viande halal, lié à la conjonction du mercantilisme et de l’obscurantisme, pose de nombreux problèmes : souffrance animale, insalubrité des viandes, paiement d’une dime religieuse. Le refus d’étiquetage spécifique par les autorités, au motif que cela serait stigmatisant est proprement scandaleux.                                                                                                                                       La dégradation dramatique des pratiques dans les abattoirs, illustrée par les scandales à répétition comme à Alès et au Vigan, est  liée à l’introduction massive de l’abattage halal. Cela a beaucoup nuit à l’image des professionnels de la viande dont certains ont cru a un nouvel Eldorado s’ouvrant devant eux, alors que ce n’est qu’un miroir aux alouettes ! Quant  aux éleveurs,  ils n’avaient pas besoin de cela…. Vigilance Halal s’inscrit dans une démarche pragmatique et non idéologique en soutenant les bouchers qui s’engagent à ne commercialiser que de la viande d’animaux abattus selon les normes  « laïques  .Plus de 300 bouchers ont répondu à notre appel et vont recevoir l’affichette ci-dessus. Faites leur le meilleur accueil. consultable en ligne ici ou téléchargeable ici sur le site. Vous pouvez, de plus, munis de la liste des abattoirs pratiquant l’abattage avec étourdissement ( téléchargeable ici) ,visiter les bouchers autour de chez vous et leur demander d’où provient leur viande. Il ne s’agit pas uniquement de savoir si elle vient de France comme il est souvent répondu. Bien noter les réponses et nous les communiquer.  

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