Communiqués VH

Les voeux 2021 du président de Vigilance Halal

L’année 2020 a été une année extrêmement compliquée et anxiogène pour tous Cela ne doit pas nous empêcher, bien au contraire, de lutter et d’espérer pour chacun de nous le meilleur à titre individuel en cet an de grâce 2021 ! C’est en effet par cette « positive attitude » que nous sortirons de cette crise qui est un signe de l’effondrement de notre société. Nous avons tout à reconstruire et nous devrons nous y mettre avec enthousiasme car rien n’est jamais perdu. L’année 2021 ne se présente pas, hélas,  sous de meilleurs auspices, malheureusement ! Une folie collective semble s’être emparé des « élites » qui sont censées nous diriger vers de « verts pâturages », car les décisions qui sont prises pour des motifs sanitaires, sont non seulement inefficaces, mais de plus attentatoires aux libertés et au simple sens commun.  Toutes nos actions ont été ralenties en 2020 : tribunaux en roue libre, difficultés pour organiser des réunions et conférence , esprit public monopolisé par le coronavirus par la faute d’un matraquage de propagande intensive.  Par exemple je devais intervenir au parlement européen pour sensibiliser les eurodéputés aux problèmes sanitaires graves liés à l’abattage rituel, et cette réunion a été ajournée sine die.  Je continuerai à me battre tout au long de cette nouvelle année pour le respect de animaux et la sécurité des consommateurs, mais aussi pour alerter l’opinion sur l’accoutumance de notre société à la charia, la loi islamique, qui avance tranquillement grâce à l’acceptation du halal. Bref, souhaitons qu’en cette nouvelle année nous puissions sortir de l’emprise du coronavirus, afin de nous concentrer sur le « corano-virus » transmis par le halal, virus beaucoup plus dangereux car il s’attaque à notre âme.  N’oublions jamais que « l’halalitude est le prélude à la dhimmitude »

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Zoom – Alain de Peretti – Halal : la nouvelle bombe sanitaire !

Alain de Peretti est vétérinaire et président de l’association Vigilance Halal. Depuis plusieurs années, il dénonce les dérives relatives aux dérogations accordées pour l’abattage rituel. Au-delà du traçage obscur de la viande et de la partie financière reversée au culte musulman, souvent sans que le consommateur ne le sache, Alain de Peretti alerte sur un véritable scandale sanitaire. En effet, la pratique de l’égorgement des animaux en pleine conscience n’est pas sans poser de nombreux problèmes d’hygiène, facteurs de contamination à plusieurs bactéries, mais aussi, favorisant l’antibiorésistance.

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Vigilance Halal. Bilan et Perspectives pour l’année 2021

Chers amis et militants de Vigilance Halal Depuis la création de Vigilance Halal en 2012, nous avons organisé notre association pour la rendre de plus en plus efficace et la professionaliser. Cela n’a pas été facile car nous sommes à contre-courant de politiquement correct qui fait de l’islam un sujet tabou : ce serait la religion des opprimés stigmatisés et persécutés. Les pauvres ! Un comble alors que l’argent du pétrole coule à flot pour financer l’islam et que le terrorisme se répand comme un cancer… On en arrive même à constater que l’islam devient la religion officielle de la République. Le dernier signe en date de ces jours ci est la pose de la première pierre d’une mosquée par le nouveau maire écolo de Lyon qui avait refusé, sous prétexte de laïcité, de participer à une fête catholique quelques jours avant. Et ce n’est pas que de l’électoralisme ! Notre engagement contre l’abattage halal nous a amené, fort logiquement, à étudier ses fondements islamiques ainsi que le coran, les hadiths et la sunna. Et nous avons constaté que le halal ne concerne pas seulement la nourriture mais c’est l’ensemble des règles juridiques de la charia, droit islamique, qui définit  l’ « islamic way of life » ensemble de prescriptions très contraignantes qui  enferment les musulmans dans une véritable prison psychologique. On obtient ainsi un contrôle social très puissant et très efficace qui a permis à l’islam de durer malgré ses tares intrinsèques. Dans ce contexte, nous avons utilisé les armes du droit, de la communication et du lobbying. Pour nos actions judiciaires il a fallu compter 7 ans avant la première victoire devant la cour d’appel administrative de Paris pour l’abattoir de Meaux, le 18 decembre 2018, décision non appliquée par la Préfecture de Seine et Marne, d’où nouveau contentieux toujours en cours. Nous avons plus de 30 dossiers devant les tribunaux, la justice prend son temps mais nous ne lâcherons rien ! Et c’est grâce à votre soutien sans faille depuis toutes ces années, nous sommes maintenant plus de 15 000 membres, et notre page Facebook atteint bientôt 20 000 j’aime. Nous commençons donc à peser sur le plan de la communication et du lobbying, avec notamment notre réseau de bouchers labellisés « Suivez le Coq », dont le site, victime d’une attaque, va être bientôt disponible à nouveau. Et surtout, nous avons pu mettre en route un projet ambitieux visant à l’interdiction en Europe de l’abattage rituel, pour des raisons sanitaires. En effet, malgré les efforts des associations de défense animale, jamais un juge ou un politique ne prendra le risque d’interdire l’abattage rituel, la liberté « religieuse » de communautés influentes et vindicatives rendant la décision périlleuse. Je le dis avec amitié à toutes ces associations qui pourtant ne nous ont jamais soutenu au prétexte de notre islamophobie supposée. Par contre, l’aspect santé publique a beaucoup plus de chances d’être victorieux. Depuis près d’un an nous avons demandé à un expert indépendant, reconnu au plus haut niveau, de faire l’état des connaissances sur l’antibio résistance, multifactorielle certes mais où l’hygiène à l’abattoir est essentielle. L’antibio-résistance est reconnue comme un problème de santé majeur et en voie d’aggravation. Cet expert est le Dr Jean Louis Thillier, qui fût, entre autres gros dossiers de sécurité sanitaire, expert unique dans le dossier de la Vache Folle. J’ai synthétisé ce travail de 1600 pages, qui révolutionne d’ailleurs pas mal de notions scientifiques admises depuis longtemps, en un rapport de 24 pages démontrant que les abattoirs étaient le maillon faible en matière d’hygiène publique : l’égorgement large de l’abattage rituel permet au contenu du rumen (estomac des ruminants) de se répandre dans le milieu extérieur alors qu’il contient des quantités massives de germes antibiorésistants que l’on peut suivre jusqu’à l’hôpital avec la technologie PCR. Ce dossier va être porté devant la commission européenne car l’égorgement rituel est autorisé par dérogation au règlement européen 2004/853 relatif à l’hygiène de l’abattage qu’il faudra abroger. Nous allons essayer de le médiatiser au maximum. La prise de conscience de l’importance de l’hygiène générale (notamment des mains…) lors de l’épidémie de COVID devrait être un facteur de sensibilisation pour le succès de l’opération. Continuez à nous aider en diffusant nos informations, en alertant votre médecin, votre pharmacien, votre député, les journalistes ou toute personne susceptible de faire progresser l’affaire. Nous envisageons même de mettre en vente le document de synthèse dès qu’il sera imprimé pour ceux qui auraient la possibilité de le donner à des personnes influentes de leur entourage. La victoire est possible et donnerait un coup d’arrêt à l’halalisation de notre société et serait le début de la reconquête. Je sais que je peux compter sur votre fidèle soutien, merci d’avance, ma détermination est totale. Dr Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance Halal

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Comme chaque année, le grand cirque de l’Aïd el Kebir (ou el Ahda)

Cette année ce sera le 31 Juillet. En effet la date est mobile car l’islam ne fait rien comme les autres, séparatisme oblige, l’année est basée sur le cycle lunaire et plus courte d’une dizaine de jours. Cette fête censée commémorer le sacrifice d’Abraham, est extrêmement suivie et chaque année, de plus en plus de moutons sont « sacrifiés » sur l’autel d’un dieu sanguinaire (plus de 250 000 selon les estimations). Par laxisme et lèche-baboucherie de plus en plus de facilités dérogatoires des pratiques modernes sont accordées aux « croyants ». Comme tous les ans, sans relâche nous dénonçons : 1°) Le nombre croissant d’abattages sauvages à la maison (dans la baignoire…), interdits mais jamais sanctionnés. En effet la tradition veut que le chef de famille, tel Abraham, égorge le mouton devant ses enfants. Cet apprentissage de l’égorgement en fait un marqueur culturel de cette communauté illustré dans les nombreux faits divers relatés en « poignardé au cou » dans la novlangue journalistique. Les déchets de ces abattages se trouvent éliminés dans la nature avec les risques sanitaires afférents ! Au mieux, certaines municipalités halalisées et donc complices de ce délit, mettent à disposition des bennes : moindre mal, mais soumission à la charia ! Une action judiciaire est en cours contre le SICTOM de Mulhouse pour l’Aïd de l’an dernier mais la justice prend son temps ! 2°) Les installations provisoires bricolées ne respectant pas les normes, normes qui avaient justifié pourtant la fermeture de tous les petits abattoirs de proximité qui existaient il y a 50 ans. Mais, comme le disait le regretté Cazeneuve ministre des cultes devant le CNCM à propos des abattoirs temporaires, il faut « revoir les procédures trop contraignantes et le coût trop élevé », en clair déroger aux règles communes et financer à l’aide du contribuable. Dans un autre registre Mr Castaner a récemment enrichi cette « jurisprudence » en affirmant la prépondérance de l’émotion sur la loi. 3°) L’importation d’animaux de territoires peu regardants sur le plan sanitaire comme la Roumanie, qui sert de plaque tournante d’un vaste trafic, l’élevage français étant incapable de fournir la totalité des moutons, car il faut que ce soit un mâle d’environ 1 an. Cela pose de plus le problème de transport des animaux sur de grandes distances, en pleine chaleur et donc dans des conditions de maltraitance extrême. 4°) Même dans les abattoirs fixes et équipés, le problème de l’abattage sans étourdissement est un problème de fond et il serait temps pour l’islam de revoir ses pratiques archaïques et, ainsi, rentrer enfin dans la modernité. L’introduction progressive de ces usages exotiques aboutit à une accoutumance progressive des autochtones à la charia, la loi islamique et contribue à isoler les populations musulmanes, loin du « vivre ensemble » prôné par nos médias et politiques : c’est le fameux « séparatisme » qui est pourtant le fondement de l’islam que découvrent, bien tardivement, nos élites. C’est ce travail de lanceur d’alerte et d’eveilleur de conscience que Vigilance Halal mène sans relâche depuis 8 ans. Alain de Peretti

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Au sujet du Coronavirus et de l’abattage rituel dans les abattoirs

Ces dernières semaines de nombreux « clusters » (pourquoi ne pas dire « foyers » ? !) d’infection   dans les abattoirs par le fameux coronavirus, vedette des médias, ont défrayé la chronique, en France mais aussi dans de nombreux pays. Aussitôt, des associations  et groupes « végans » ont dénoncé la responsabilité de la consommation de viande dans la genèse de toutes les maladies. Comme si les végétaux, notamment dans les structures de type industriel, n’étaient pas eux aussi à l’origine de nombreuses intoxications et pathologies : entre autres, aflatoxines et mycotoxines, ergot de seigle, colibacilloses, salmonelloses etc. Mais passons, l’inculture et le dogmatisme sectaire de ces groupes de bobos citadins est insondable. Ils pensent sans doute que la nature est bonne, et que la vie est un long fleuve tranquille. Ces foyers s’expliquent, de façon rationnelle cette fois, par divers facteurs : 1° les conditions d’environnement dans un abattoir sont favorables à la diffusion des germes et virus, du fait de l’humidité et du froid, ou tout le moins des variations importantes de température dans les frigos. Le mélange d’animaux venant de tous horizons, parfois lointains, et porteurs de germes et virus  est aussi un facteur important. 2° Les abattoirs sont des lieux où l’hygiène est fondamentale, surtout les grandes structures industrielles, du fait de cette activité spécifique. Napoléon, d’ailleurs, avait pris un décret d’éloignement des abattoirs des centres villes pour des questions d’hygiène. La moindre faute d’hygiène se paie cash ! C’est pour cela que l’abattage rituel est à bannir de façon absolue du fait des souillures qu’il entraîne. Or la plupart des abattoirs pratiquent maintenant de façon massive cet abattage. Nous avons d’ailleurs commandé un rapport d’expertise sur l’antibiorésistance et la virulence des souches de germes d’origine animale qu’on rencontre maintenant en médecine de ville et hospitalière. Il semble maintenant probable que la généralisation de l’abattage rituel soit à l’origine de ces problèmes graves. 3° Le personnel est un des éléments le plus important. Le travail est ingrat, mal payé, et le recrutement est difficile. Il est de plus en plus fait appel à de la main d’œuvre immigrée, sans formation, comprenant mal les consignes, habituées à des normes d’hygiène peu contraignantes. Ils sont logés dans des foyers où la promiscuité est importante. Il est donc prévisible que le coronavirus s’y developpe  facilement du fait de toutes ces conditions. Le Pr Raoult parle d’ailleurs de maladies d’écosystème à propos de ces virus respiratoires saisonniers. Nous y sommes ! Au sujet du Pr Raoult, et pour conclure voici une anecdote en relation avec notre sujet  qui illustrera le rapport hygiène de l’abattoir et santé humaine. Il y a démontré  sa haute compétence médicale, qui consiste à observer de façon pragmatique sur le terrain. En 1996 sévissait à Briançon une épidémie de Fièvre Q, maladie grave commune à l’homme et aux animaux. L’origine de cette épidémie restait mystérieuse malgré toutes les recherches. Le Pr Raoult fût donc appelé et se rendit sur place. Après une enquête de 2 jours où il a arpenté toute la ville, il a trouvé l’origine : l’abattoir de la ville qui se trouvait à proximité de la base d’hélicoptères de la gendarmerie. Le brassage de l’air par les pales des hélicoptères diffusaient sur de grandes distances les germes de l’abattoir jusqu’à la ville. Il y eut un conflit avec le maire de Briançon, un vétérinaire, qui ne voulait pas reconnaître la responsabilité de l’abattoir ! Cela ne vous rappelle rien ? Alain de Peretti

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Affaire Eric Dick : nous ne lâchons rien !

Le combat contre le halal est un combat titanesque car nous le menons sans l’aide des grands médias, et que l’ensemble du système, par lâcheté, opportunisme, ignorance, soumission au politiquement correct nous mets des bâtons dans les roues. J’en arrive à la conclusion que l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République, protégée, chouchoutée et subventionnée de façon éhontée dans un pays qui se dit laïque. Nous avons choisi dès le début la voie judiciaire, car nous croyons à l’état de droit, peut-être de façon un peu naïve… Vous vous souvenez sans doute de l’histoire d’Eric Dick, ce lanceur d’alerte qui a dénoncé l’irruption du halal dans les sandwichs de La Mie Câline. Il dénonçait, à juste titre, les rapports de l’argent du halal et le financement du terrorisme. Trainé au tribunal pour diffamation, il écopait d’une lourde peine en première instance. Nous avons pris à ce moment-là le dossier en main, et notre avocat, Maitre Yon, en appel à Poitiers, a obtenu une diminution par 10 des pénalités. Cette décision ne nous convenait pas car nous exigeons la relaxe totale, Eric Dick ayant fait lors  de son enquête un travail très honnête, et demandé à La Mie Câline un rendez-vous pour défendre sa position, rencontre qu’elle avait refusé. Le jugement étant à notre avis entaché de nombreuses irrégularités nous sommes allés en cassation et nous avons perdu… Mais nous ne lâchons rien, et avons pris la décision d’aller devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, nous considérons en effet que dire que le halal finance le terrorisme est basé sur des sources concordantes et sérieuses, et ne peut être considéré comme diffamatoire. Cette affaire est emblématique et permettra de démontrer à toutes ces entreprises aveuglées par leur mercantilisme que leur responsabilité pourra être recherchée lorsque les choses seront revenues à l’endroit dans notre pays ! Elles deviendront de ce fait beaucoup plus prudentes avant de succomber aux sirènes du halal. Alain de Peretti

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Le halal encore plus dangereux en période de pandémie !

Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici La viande halal fait courir un risque sanitaire plus élevé encore que d’ordinaire, à nous et nos proches, à tous nos compatriotes, au moment où sévit le COVID-19. La section de l’œsophage entraîne des régurgitations stomacales, qui contiennent des quantités de bactéries. Ces microbes diffusés lors de l’abattage halal se retrouvent dans le milieu extérieur. Les animaux d’élevage étant gavés quotidiennement d’antibiotiques, les bactéries deviennent plus en plus résistantes à ces derniers. On peut tracer ces souches microbiennes, parfaitement identifiées, jusqu’à l’hôpital, où elles représentent 95% des cas d’antibiorésistance. Elles posent des problèmes insolubles aux médecins lorsqu’ils veulent traiter des infections, même banales. Le halal constitue donc en temps normal et à fortiori en cette période de pandémie, une mise en danger supplémentaire ! Il faut en effet très souvent associer un antibiotique en cas d’attaque virale pour lutter contre les complications. L’Organisation mondiale de la Santé classe d’ailleurs l’antibiorésistance dans les problèmes majeurs de santé à l’hôpital. Nous devons faire cesser cela immédiatement !Seule la Cour de Justice européenne s’avèrera efficace pour le stopper: elle a déjà permis d’interdire les abattages juifs et musulmans en Belgique flamande. Nous devons saisir la Commission et prouver aux commissaires européens qu’ils font courir un vrai risque aux consommateurs en autorisant l’abattage sans étourdissement en période de pandémie, où nos corps sont fragilisés par le virus. Pour aboutir, notre requête doit s’appuyer sur un dossier en béton. Cela implique de rechercher et consulter des documents scientifiques et des études réalisées sur le sujet, payants, d’entamer une procédure coûteuse. Nous avons missionné pour ce dossier un expert de renom, habitué des gros dossiers de sécurité sanitaire, le Dr Jean Louis Thillier (vache folle, amiante). Le devis prévisionnel de cette action de grande envergure est de l’ordre de 20 000 euros. Parallèlement , bien sûr, nous allons mener une vaste action de lobbying auprès des élus et des médias. C’est la raison de mon courrier de ce jour : aidez-nous, en faisant un don, à saisir la Commission européenne avec un rapport solide, argumenté et irréfutable scientifiquement. Si nous parvenons, comme en décembre 2018, à obtenir gain de cause, l’effet pourrait être révolutionnaire pour notre pays. Nous devons cela à nos proches, à tous nos compatriotes, mais aussi et surtout à nous-mêmes ! Je vous remercie pour ce que vous pourrez faire. Dr Alain de Peretti, président de Vigilance halal Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici

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Coronavirus face à Corano-virus islamique

« Le coronavirus nous a montré quelles sont nos vraies priorités. Combattre l’islamisme ne semble pas en faire partie.« La lecture d’un très intéressant article de Driss Ghali dans Causeur intitulé « Grand corps malade » confirme les réflexions de bon sens qu’on peut déduire de la crise actuelle du coronavirus et de la crise ancienne et à venir de l’islamisme. https://www.causeur.fr/coronavirus-islamisme-grand-corps-malade-174493 Il est d’ailleurs curieux de voir que les principales réactions salutaires contre la montée de l’hydre islamiste émanent de personnes qui connaissent l’islam de l’intérieur. La crise sanitaire semble avoir effacé les questionnements et la prise de conscience qui semblait commencer à poindre dans les médias et la population. La survie de nos carcasses humaines a effacé le danger pourtant mortel lui aussi de la disparition de notre civilisation. Beaucoup de commentateurs ont d’ailleurs évoqué à propos du confinement et de la privation de libertés qu’on nous impose une possible manipulation de masse… L’islamisme est un virus mortel ! Revenons à notre propos. Mohannad Sabbah, par exemple, blogger irakien ecrivait le 1er Juin 2019 sur le blog El Sada.net :  » La bombe islamique se distingue des autres, c’est qu’elle est imprégnée d’une multitude de virus très dangereux, comme l’interdiction, l’obligation, le halal (le licite), le haram (l’illicite), le paradis, le feu de l’enfer. Mais elle se distingue aussi par le djihad, la fornication, l’esclavagisme sexuel, l’esclavagisme humain, le sectarisme, la discrimination, le mensonge, la dissimulation, l’hypocrisie, l’intimidation, le meurtre, les houris, les fatwas, etc.  » […] « Ces virus provoquent l’émergence de germes et de bactéries étranges appelés « hommes de religion, muftis, prédicateurs, imams, chouyoukh , oulémas, mollah, ayatollah, etc. ». Il conclut son article en disant : » Que les non-musulmans, notamment les Occidentaux, prennent au sérieux et réfléchissent à ce que des musulmans libéraux et ex-musulmans éclairés et courageux disent publiquement de leur islam ! » Vous pouvez retrouver ce texte, ainsi que de nombreux autres dans l’excellent ouvrage paru aux éditions Riposte Laïque « L’islam mis à nu par les siens » de Maurice Saliba. le salut nous viendra des anciens musulmans ! Guérir notre SIDA mental Sans vouloir minimiser les dangers du coronavirus, ce dernier ne s’attaque qu’à nos corps et, même si les dégâts s’avèrent importants, il passera. Or, les dommages causés par le « coranovirus » ont commencé il y a 14 siècles et semblent même s’accélérer. Et là ce sont nos esprits et notre âme, qui sont attaqués, notre civilisation qui est menacée. En intitulant son article « Un grand corps malade », Driss Ghali rejoint Louis Pauwels qui avait déjà détecté il y a 30 ans cette perte d’anticorps de nos sociétés occidentales et l’avait comparée à du SIDA mental, ce qui lui avait valu une volée de bois vert médiatique. Notre réaction à cette pandémie en dit long sur notre société bisounours. Nous nous trouvons confrontés en effet à deux problématiques qui avaient totalement disparu des radars dans un ronron quotidien qui laissait croire à la fin de l’histoire et à une humanité maitresse de son destin grâce au marché mondial: la première est notre propre condition humaine confrontée à la nature, à la violence, la mort et au tragique qui devrait nous imposer la modestie et l’humilité; ensuite et surtout notre vide spirituel, qui explique la disparition de tous nos anticorps face au « coranovirus islamique » . Malraux le visionnaire ne disait il pas  » le 21e siècle sera spirituel ou ne sera pas ». Le matérialisme consumériste et marchand, « l’homo festivus » du « tout à l’ego » de Philippe Murray sont maintenant confrontés aux vraies questions existentielles et essentielles. Nous sommes donc à un tournant décisif : soit nous continuons sur la voie de la décadence en refusant les remèdes efficaces, soit notre immunité se réveille et tout est possible. C’est le challenge qui nous est proposé face au corona et au corano ! Et pour cela nous devons tenir compte des enseignements du passé pour prépare l’avenir. Ce n’est pas par nostalgie mais parce qu’un arbre sans racines est voué à la mort. Et pour conclure je voudrais citer Sylvain Tesson dans son dernier roman, « La panthère des neiges » dont je vous recommande la lecture : « J’avais toujours eu l’âme faible et influençable. Je me conformais aux spiritualités des lieux où j’atterrissais.Qu’on me jette dans un village yazidi, je priais le soleil.Qu’on me propulse dans la plaine gangétique, je m’accordais à Krishna. Séjournant dans les Monts d’Arrée, je rêvais de l’Ankou. Seul l’islam n’avais pas de prise, je n’avais pas de goût pour le droit pénal « Alain de Peretti

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Halal et services de l’Etat : la collusion de plus en plus évidente

Depuis 2012, l’association que j’ai l’honneur de présider ferraille devant les tribunaux pour mettre en accusation les services de l’Etat, préfectures, ministère de l’Agriculture. En effet quand vous lisez la prose rébarbative des textes règlementaires tout est prévu, il ne manque pas « un bouton de guêtre »  comme disait le général  Leboeuf  (sic…)  avant la déroute de Sedan en 1870. C’est un peu comme les décors pimpants des villages Potemkine. Tout serait sous contrôle, et lors des nombreuses actions judiciaires que nous avons menées depuis 2012 cet argument nous a systématiquement été opposé par les tribunaux. Jusqu’à notre victoire en Décembre 2018 devant la cour d’appel administrative de Paris, dont les décisions ne sont toujours pas appliquées par le préfet de Seine et Marne.  Nous avons fait la démonstration du non-respect de ladite législation. Nous savons par ailleurs que la dérogation à l’étourdissement est systématiquement contournée dans tous les abattoirs pratiquant le halal. Lors de l’Aïd 2015, dans les Bouches du Rhône un document préfectoral arborait fièrement de part et d’autre du logo de la République le logo de l’islam (croissant et étoile) et le logo du CRCM. Lors de l’Aïd 2016, devant le Conseil d’Etat, le ministère de l’Agriculture dans son mémoire argumentait sur les risques de troubles à l’ordre public si on interdisait les abattoirs temporaires. Pas de vagues, ne gênons en rien ces représentants de la RATP si stigmatisés en permanence… Pour l’Aïd 2019, enfin, à Mulhouse, le SIVOM organisait officiellement le ramassage des déchets d’abattage des moutons abattus illégalement à la maison, se faisant complice d’un grave délit et mettant en péril la salubrité publique. Tous ces détails pris entre des centaines pour planter le décor et  pour démontrer la complicité des « autorités » sanitaires, si tatillonnes par ailleurs lorsqu’il faut construire un poulailler par exemple. Mais là il s’agit de l’islam… Et celui-ci semble en bonne voie pour devenir la religion officielle de la République ! Le dernier scandale de l’abattoir de Boulazac en Dordogne, que j’ai analysé dans un précédent article est en train de démontrer s’il en était encore besoin cette véritable forfaiture de l’Etat. Tout d’abord la réaction de la Préfecture de Dordogne dès mercredi 19 février :au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal Sud Ouest du20 Février) Ensuite, le ministère de l’Agriculture confirme officiellement cette analyse, il faut bien se serrer les coudes dans l’adversité…. Mais, pas de chance, des mails arrivent par erreur à l’association L214, émanant du ministère, parlant de graves dysfonctionnements et des non conformités majeures. Ça fait désordre ! Le ministre de l’Agriculture, interpellé au salon de l’Agriculture en perd son sang-froid et réagit de façon virulente. Une enquête interne sera malgré tout diligentée et aboutira à la suspension administrative de cet abattoir. Lorsqu’on va sur le site de la Sobeval, la bientraitance animale fait partie des priorités. Dans un article du journal Sud-Ouest de Novembre 2016, interrogé sur le scandale de l’abattoir de Limoges, le directeur, Gilles Gauthier, déclare que cela ne pourrait pas arriver dans cet abattoir, que les animaux meurent en 1 seconde, et que …les camions de transport sont neufs. L’abattoir est classé en 2e catégorie et doit passer, en 2017, en 1e catégorie. Cet article est intéressant car il n’est nullement fait mention de l’abattage rituel, on ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu ! Il est intéressant de se pencher sur les protagonistes : après le décor, les acteurs ! Mr Gilles Gauthier, le directeur de l’abattoir est dirigeant de 9 sociétés réparties sur tout le territoire, dont Van Drie France, Schils France filiales d’un grand groupe néerlandais. Il est également le président de la puissante Fédération des Entreprises de la Viande. La puissance financière de ces consortiums permet de peser de façon efficace sur les pouvoirs publics par un lobbying de tous les instants. Corruption ? Népotisme ? Fraternité maçonnique ? Cette fois ci l’abattage halal et casher ayant été clairement mis en cause, les contre feux se mettent en branle : le Dr Jean Luc Angot, vétérinaire de la fonction publique, président du Comité National d’Ethique des Abattoirs (quand je lis le mot « éthique » je me méfie…) va entamer un numéro d’équilibriste dans une tribune intitulée « Un consensus peut être trouvé sur l’abattage rituel ». Après avoir enfilé quelques banalités, il nous ressort l’étourdissement après égorgement, véritable arnaque scientifique car n’empêche pas la section de la trachée et de l’œsophage caractéristique de l’abattage rituel et les graves problèmes sanitaires qui en découlent, et les 40 secondes prévues dans ce protocole expérimentale sont bien longues pour un animal en agonie. D’ailleurs il n’évoque même pas les problèmes sanitaires. Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume déclare lors de son arrivée au ministère : « Moi, ministre de l’Agriculture, les lobbys ne pourront pas franchir la porte de mon ministère ». Inspecteur des impôts c’est un cacique du parti socialiste. Les lobbies de l’abattage rituel ont certainement fait exception. Elu de la Drôme, il se parachutera à Biarritz pour les municipales, et se retirera sur pression d’Emmanuel Macron. On peut mesurer sur cette affaire le mélange explosif d’incompétence, de lâcheté, d’affairisme politique et financier, et donc au final la complicité pour crime contre les animaux, les consommateurs, les bouchers et les éleveurs. Cette alliance objective entre le mercantilisme financier et l’obscurantisme religieux permet au halal de s’installer tranquillement, et donc à « l’islamic way of life », c’est-à-dire la charia de faire son nid dans notre société tel un coucou parasite. L’Etat dans ce domaine comme dans tant d’autres n’est plus qu’un parasite coûteux, omnipotent et impotent, et on se prend à rêver d’un grand chamboulement pour remettre les choses en place. Alain de Peretti Crédit photo : DR [cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 

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Scandale de l’abattoir SOGEVAL : on avance enfin!

Un scandale de plus dans un abattoir, suite à une vidéo de L214. Mais cette fois ci, l’abattage « sans étourdissement » est clairement mis en cause, à la fois par cette association, que nous félicitons, mais aussi par les medias. Cette prudence de langage désigne bien sûr l’abattage rituel, halal et casher, sachant que le halal constitue l’essentiel des abattages.  Et comme dit le philosophe Olivier Rey, à partir d’une certaine échelle la quantité modifie la nature d’une chose. Sur les plateaux les débats tournent autour du thème : « faut-il interdire l’abattage halal ? » Réponse oui à plus de 85% ! Cette vidéo est riche d’enseignements Tout d’abord en matière de souffrance, les images sont sans appel : les animaux se débattent alors qu’ils sont suspendus .  Ce ne sont pas des réflexes comme l’affirmait sur un plateau  avec mauvaise foi un partisan de l’abattage rituel car les animaux, la gorge tranchée cherchaient à relever la tête ce qui est caractéristique d’un état de conscience. Tous les animaux passent par le piège rotatif, caractéristique de l’abattage rituel, et ceux qui sont étourdis le sont de façon irrégulière pour deux raisons : 1° la position face à l’animal dont la tête n’est pas immobilisée entraine des mouvements de retrait de l’animal qui rendent l’opération aléatoire, 2° les opérateurs qui pratiquent au quotidien l’abattage rituel ne sont certainement pas entrainés,  s’accoutument à la souffrance animale, voire même s’en fichent complètement… Le scandale dont on ne parle jamais, est l’effondrement de l’hygiène, bien visible sur la vidéo : du sang partout, des animaux traînés par terre, des régurgitations de contenu de l’estomac. Ce dernier est riche en bactéries antibio-résistantes  qui seront  disséminées à tous vents.  Ceci est lié à la section, lors de la saignée, de l’œsophage et de la trachée interdites pour raisons d’hygiène par la loi sauf…pour raisons de pratique religieuse.  Or les problèmes d’antibio-résistance sont reconnus par toutes les instances sanitaires comme un problème majeur de la médecine. Vigilance Halal a d’ailleurs commandé une expertise officielle sur ce sujet au Dr Thillier, expert judiciaire européen indépendant reconnu en sécurité sanitaire (procès de l’amiante et de la vache folle entre autres). Son rapport sera disponible fin Avril et servira de base à une action devant la Cour de Justice de l’Union Européenne. La réaction des « autorités » sanitaires est affligeante : la préfecture de la Dordogne indiquait dès mercredi 19 février qu’au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste  et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal  Sud Ouest du20 Fevrier). Je tiens à leur disposition, en tant qu’ancien vétérinaire inspecteur des abattoirs la liste des infractions repérables sur la vidéo notamment en matière sanitaire. Incompétence, paresse, complicité, malhonnêteté, corruption… ? Toutes les hypothèses sont possibles. Mais nos actions judiciaires nous ont permis, au bout de 7 ans de procédures, de démontrer qu’il n’y avait aucun contrôle de l’usage de la dérogation à l’etourdissement !!! Cet abattoir ultra moderne de la société SOBEVAL est la propriété de la multinationale néerlandaise VANRIE, leader mondial de la viande de veau. C’est le symbole de l’évolution de notre société où la puissance financière entraîne toutes les dérives. Au détriment d’ailleurs des intérêts des éleveurs, des bouchers et des consommateurs. Ce scandale résulte de l’alliance du mercantilisme et de l’obscurantisme religieux que Vigilance Halal dénonce depuis sa création en 2012. Se pose maintenant la question de l’interdiction de ce mode d’abattage.Il faudra du courage politique…, encouragé par un vaste mouvement d’opinion : réveillons-nous ! Il faut que le public sache que seul l’étourdissement de l’animal permet une saignée précise et propre épargnant la trachée et l’œsophage car l’animal ne bouge pas. On allie ainsi hygiène et respect de l’animal : si on étourdissait seulement l’animal en laissant pratiquer un égorgement rituel complet le scandale sanitaire persisterait. C’est ce que nous essayons, pour l’instant en vain, de faire comprendre aux associations de protection animale qui ne veulent voir que l’étourdissement. Le justificatif religieux de toutes manières n’est pas recevable : si les mayas ou les aztèques étaient encore parmi nous laisserions nous pratiquer les sacrifices humains ? La modernité n’a pas que des bons côtés, mais il serait malgré tout judicieux que certaines religions en acceptent les progrès scientifiques. Alain de Peretti

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