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Vigilance Halal. Bilan et Perspectives pour l’année 2021

Chers amis et militants de Vigilance Halal Depuis la création de Vigilance Halal en 2012, nous avons organisé notre association pour la rendre de plus en plus efficace et la professionaliser. Cela n’a pas été facile car nous sommes à contre-courant de politiquement correct qui fait de l’islam un sujet tabou : ce serait la religion des opprimés stigmatisés et persécutés. Les pauvres ! Un comble alors que l’argent du pétrole coule à flot pour financer l’islam et que le terrorisme se répand comme un cancer… On en arrive même à constater que l’islam devient la religion officielle de la République. Le dernier signe en date de ces jours ci est la pose de la première pierre d’une mosquée par le nouveau maire écolo de Lyon qui avait refusé, sous prétexte de laïcité, de participer à une fête catholique quelques jours avant. Et ce n’est pas que de l’électoralisme ! Notre engagement contre l’abattage halal nous a amené, fort logiquement, à étudier ses fondements islamiques ainsi que le coran, les hadiths et la sunna. Et nous avons constaté que le halal ne concerne pas seulement la nourriture mais c’est l’ensemble des règles juridiques de la charia, droit islamique, qui définit  l’ « islamic way of life » ensemble de prescriptions très contraignantes qui  enferment les musulmans dans une véritable prison psychologique. On obtient ainsi un contrôle social très puissant et très efficace qui a permis à l’islam de durer malgré ses tares intrinsèques. Dans ce contexte, nous avons utilisé les armes du droit, de la communication et du lobbying. Pour nos actions judiciaires il a fallu compter 7 ans avant la première victoire devant la cour d’appel administrative de Paris pour l’abattoir de Meaux, le 18 decembre 2018, décision non appliquée par la Préfecture de Seine et Marne, d’où nouveau contentieux toujours en cours. Nous avons plus de 30 dossiers devant les tribunaux, la justice prend son temps mais nous ne lâcherons rien ! Et c’est grâce à votre soutien sans faille depuis toutes ces années, nous sommes maintenant plus de 15 000 membres, et notre page Facebook atteint bientôt 20 000 j’aime. Nous commençons donc à peser sur le plan de la communication et du lobbying, avec notamment notre réseau de bouchers labellisés « Suivez le Coq », dont le site, victime d’une attaque, va être bientôt disponible à nouveau. Et surtout, nous avons pu mettre en route un projet ambitieux visant à l’interdiction en Europe de l’abattage rituel, pour des raisons sanitaires. En effet, malgré les efforts des associations de défense animale, jamais un juge ou un politique ne prendra le risque d’interdire l’abattage rituel, la liberté « religieuse » de communautés influentes et vindicatives rendant la décision périlleuse. Je le dis avec amitié à toutes ces associations qui pourtant ne nous ont jamais soutenu au prétexte de notre islamophobie supposée. Par contre, l’aspect santé publique a beaucoup plus de chances d’être victorieux. Depuis près d’un an nous avons demandé à un expert indépendant, reconnu au plus haut niveau, de faire l’état des connaissances sur l’antibio résistance, multifactorielle certes mais où l’hygiène à l’abattoir est essentielle. L’antibio-résistance est reconnue comme un problème de santé majeur et en voie d’aggravation. Cet expert est le Dr Jean Louis Thillier, qui fût, entre autres gros dossiers de sécurité sanitaire, expert unique dans le dossier de la Vache Folle. J’ai synthétisé ce travail de 1600 pages, qui révolutionne d’ailleurs pas mal de notions scientifiques admises depuis longtemps, en un rapport de 24 pages démontrant que les abattoirs étaient le maillon faible en matière d’hygiène publique : l’égorgement large de l’abattage rituel permet au contenu du rumen (estomac des ruminants) de se répandre dans le milieu extérieur alors qu’il contient des quantités massives de germes antibiorésistants que l’on peut suivre jusqu’à l’hôpital avec la technologie PCR. Ce dossier va être porté devant la commission européenne car l’égorgement rituel est autorisé par dérogation au règlement européen 2004/853 relatif à l’hygiène de l’abattage qu’il faudra abroger. Nous allons essayer de le médiatiser au maximum. La prise de conscience de l’importance de l’hygiène générale (notamment des mains…) lors de l’épidémie de COVID devrait être un facteur de sensibilisation pour le succès de l’opération. Continuez à nous aider en diffusant nos informations, en alertant votre médecin, votre pharmacien, votre député, les journalistes ou toute personne susceptible de faire progresser l’affaire. Nous envisageons même de mettre en vente le document de synthèse dès qu’il sera imprimé pour ceux qui auraient la possibilité de le donner à des personnes influentes de leur entourage. La victoire est possible et donnerait un coup d’arrêt à l’halalisation de notre société et serait le début de la reconquête. Je sais que je peux compter sur votre fidèle soutien, merci d’avance, ma détermination est totale. Dr Alain de Peretti, vétérinaire, président de Vigilance Halal

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Aïd el Kebir 2020 : un bon cru ?

Comme chaque année, à l’instar du Beaujolais nouveau, l’Aïd est offert à nos yeux ébahis de mécréants ! Chaque année lunaire s’entend car l’islam ne fait rien comme les autres et leurs années sont plus courtes d’une dizaine de jours. C’est un autre facteur d’isolement communautaire dans la longue liste des règles du halal : nourriture, vêtement, sépulture, législation pointilleuse sur des critères de pureté ridicules, droit de la charia. Tout est conçu pour un contrôle psychologique et social. Chaque année, c’est le même cirque en pire, pseudo liturgie sanguinaire et sadique, que la « République » n’arrivera jamais à canaliser car rien n’est trop beau pour complaire à la communauté pour les adeptes de la « lèche-baboucherie » qui nous dirigent. En effet, l’islam réclame le sacrifice d’un mouton mâle de 1 an environ en  mémoire du sacrifice d’Ismaël par son père Abraham remplacé au dernier moment par un belier. En fait c’est Isaac le fils légitime d’Abraham qui échappe au sacrifice, Ismaël étant le fils d’Abraham et de la servante Agar chassés vers la péninsule arabique à la naissance d’ Isaac. D’où la haine des arabes , descendants d’Ismaël, pour les juifs… Pardon pour ces références historiques, nécessaires cependant pour comprendre les ressorts intimes car tous ces peuples ont gardé une mémoire longue de leur histoire, ce qui n’est malheureusement plus le cas chez nous. Depuis le début de l’humanité d’ailleurs, beaucoup de civilisations ont pratiqué des sacrifices sanglants d’animaux ou d’humains (Cf les travaux de René Girard) et le christianisme y a mis fin avec le sacrifice définitif du fils de Dieu, renouvelé de façon non sanglante à la messe, ce qui est un saut qualitatif prodigieux. Dans l’islam non seulement le sacrifice sanglant a persisté mais également une pratique perverse qui consiste pour le père de famille, nouvel Abraham, à égorger en présence des enfants un animal le plus souvent familier avec lequel se sont tissés des liens. Cette accoutumance à la violence sanguinaire domestique, entraîne une culture de l’égorgement que l’on retrouve dans les « faits divers » d’ « incivilité » relatés dans les medias de grand chemin sous le vocable « poignardé au cou ». Cette année le nombre de moutons sacrifiés à domicile a continué d’augmenter. La Fondation Brigitte Bardot a ainsi procédé à la saisie de plusieurs  petits groupes de même que l’association Stephane Lamart ou l’OABA. Mais quelques faits divers marquants cette année montrant le naufrage et l’halalisation de notre pays : un mouton échappé sur l’autoroute à Colombes dans le 9-3, un fait qualifié de « cocasse » par Le Parisien, qui d’ailleurs ne rappelle pas la concomitance avec l’Aïd. On ne nous dira pas qu’il s’était échappé de chez un particulier et devait être immolé en toute illégalité. Même tonalité inacceptable l’année dernière où un mouton était tombé d’un immeuble, s’était cassé les pattes et avait été récupéré par son « propriétaire » ce qui avait beaucoup amusé le journaliste. La Réunion où un bovin, comme l’an dernier devait être abattu…à la mosquée, comme l’an dernier, et, là aussi Vigilance Halal va porter plainte. Mise à disposition dans de nombreuses communes de bennes pour les déchets issus de l’abattage à domicile ( peaux, viscères etc.), en théorie interdit, mais jamais sanctionné : complicité de délit mais également faute sanitaire grave car ces organisme ne sont pas qualifiés pour traiter ce genre de déchets. Tous ceux qui ont été confrontés aux rigueurs des services SICTOM pour des pratiques inadaptées apprécieront le 2 poids 2 mesures. Des dizaines de corps de moutons au fil du Rhône, les articles de presse ne faisant aucune mention sur la concomitance avec l’Aïd, ni de la race de ces moutons, ni de la présence de boucles d’oreille sur certains qui permettent d’identifier l’origine. Je prends le pari qu’aucune suite ne sera donnée. Il s’agit sans doute d’un troupeau échappé d’un abattoir clandestin au bord du Rhône qu’il devrait être facile de repérer. Un correspondant de la région du Puy m’a informé que dans le fief d’un certain Wauquiez, l’abattoir public de Polignac avait été obligé de pratiquer l’Aïd malgré l’opposition de son directeur et de ses employés, avec une taxe d’abattage en dessous du prix normal. Le scandale persistant des abattoirs temporaires, bricolés et pas aux normes, mais autorisés par les préfets. Le regretté Cazeneuve alors ministre de l’intérieur et des cultes, devant le CFCM avait déclaré au sujet de ces structures « la législation est trop complexe et le coût trop important » ce qui, en clair, signifie laxisme sur les règles sanitaires et financement public… Plusieurs lieux publics ont été réquisitionnés pour la grande prière, mais tout est correct, les masques et les distances ont été respectées, alleluia…oups Allahou Akbar ! En conclusion, comme je l’affirme, non sans preuves, l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République. Laquelle « République » est en train de perdre toute légitimité car elle trahit la France. Pour moi, en effet, la République est un mode de gouvernement seulement, et j’ai de plus en plus de peine avec les « valeurs » républicaines. Alain de Peretti

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Le halal encore plus dangereux en période de pandémie !

Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici La viande halal fait courir un risque sanitaire plus élevé encore que d’ordinaire, à nous et nos proches, à tous nos compatriotes, au moment où sévit le COVID-19. La section de l’œsophage entraîne des régurgitations stomacales, qui contiennent des quantités de bactéries. Ces microbes diffusés lors de l’abattage halal se retrouvent dans le milieu extérieur. Les animaux d’élevage étant gavés quotidiennement d’antibiotiques, les bactéries deviennent plus en plus résistantes à ces derniers. On peut tracer ces souches microbiennes, parfaitement identifiées, jusqu’à l’hôpital, où elles représentent 95% des cas d’antibiorésistance. Elles posent des problèmes insolubles aux médecins lorsqu’ils veulent traiter des infections, même banales. Le halal constitue donc en temps normal et à fortiori en cette période de pandémie, une mise en danger supplémentaire ! Il faut en effet très souvent associer un antibiotique en cas d’attaque virale pour lutter contre les complications. L’Organisation mondiale de la Santé classe d’ailleurs l’antibiorésistance dans les problèmes majeurs de santé à l’hôpital. Nous devons faire cesser cela immédiatement !Seule la Cour de Justice européenne s’avèrera efficace pour le stopper: elle a déjà permis d’interdire les abattages juifs et musulmans en Belgique flamande. Nous devons saisir la Commission et prouver aux commissaires européens qu’ils font courir un vrai risque aux consommateurs en autorisant l’abattage sans étourdissement en période de pandémie, où nos corps sont fragilisés par le virus. Pour aboutir, notre requête doit s’appuyer sur un dossier en béton. Cela implique de rechercher et consulter des documents scientifiques et des études réalisées sur le sujet, payants, d’entamer une procédure coûteuse. Nous avons missionné pour ce dossier un expert de renom, habitué des gros dossiers de sécurité sanitaire, le Dr Jean Louis Thillier (vache folle, amiante). Le devis prévisionnel de cette action de grande envergure est de l’ordre de 20 000 euros. Parallèlement , bien sûr, nous allons mener une vaste action de lobbying auprès des élus et des médias. C’est la raison de mon courrier de ce jour : aidez-nous, en faisant un don, à saisir la Commission européenne avec un rapport solide, argumenté et irréfutable scientifiquement. Si nous parvenons, comme en décembre 2018, à obtenir gain de cause, l’effet pourrait être révolutionnaire pour notre pays. Nous devons cela à nos proches, à tous nos compatriotes, mais aussi et surtout à nous-mêmes ! Je vous remercie pour ce que vous pourrez faire. Dr Alain de Peretti, président de Vigilance halal Nous avons besoin de votre mobilisation et de vos dons, alors c’est par ici

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Halal et services de l’Etat : la collusion de plus en plus évidente

Depuis 2012, l’association que j’ai l’honneur de présider ferraille devant les tribunaux pour mettre en accusation les services de l’Etat, préfectures, ministère de l’Agriculture. En effet quand vous lisez la prose rébarbative des textes règlementaires tout est prévu, il ne manque pas « un bouton de guêtre »  comme disait le général  Leboeuf  (sic…)  avant la déroute de Sedan en 1870. C’est un peu comme les décors pimpants des villages Potemkine. Tout serait sous contrôle, et lors des nombreuses actions judiciaires que nous avons menées depuis 2012 cet argument nous a systématiquement été opposé par les tribunaux. Jusqu’à notre victoire en Décembre 2018 devant la cour d’appel administrative de Paris, dont les décisions ne sont toujours pas appliquées par le préfet de Seine et Marne.  Nous avons fait la démonstration du non-respect de ladite législation. Nous savons par ailleurs que la dérogation à l’étourdissement est systématiquement contournée dans tous les abattoirs pratiquant le halal. Lors de l’Aïd 2015, dans les Bouches du Rhône un document préfectoral arborait fièrement de part et d’autre du logo de la République le logo de l’islam (croissant et étoile) et le logo du CRCM. Lors de l’Aïd 2016, devant le Conseil d’Etat, le ministère de l’Agriculture dans son mémoire argumentait sur les risques de troubles à l’ordre public si on interdisait les abattoirs temporaires. Pas de vagues, ne gênons en rien ces représentants de la RATP si stigmatisés en permanence… Pour l’Aïd 2019, enfin, à Mulhouse, le SIVOM organisait officiellement le ramassage des déchets d’abattage des moutons abattus illégalement à la maison, se faisant complice d’un grave délit et mettant en péril la salubrité publique. Tous ces détails pris entre des centaines pour planter le décor et  pour démontrer la complicité des « autorités » sanitaires, si tatillonnes par ailleurs lorsqu’il faut construire un poulailler par exemple. Mais là il s’agit de l’islam… Et celui-ci semble en bonne voie pour devenir la religion officielle de la République ! Le dernier scandale de l’abattoir de Boulazac en Dordogne, que j’ai analysé dans un précédent article est en train de démontrer s’il en était encore besoin cette véritable forfaiture de l’Etat. Tout d’abord la réaction de la Préfecture de Dordogne dès mercredi 19 février :au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal Sud Ouest du20 Février) Ensuite, le ministère de l’Agriculture confirme officiellement cette analyse, il faut bien se serrer les coudes dans l’adversité…. Mais, pas de chance, des mails arrivent par erreur à l’association L214, émanant du ministère, parlant de graves dysfonctionnements et des non conformités majeures. Ça fait désordre ! Le ministre de l’Agriculture, interpellé au salon de l’Agriculture en perd son sang-froid et réagit de façon virulente. Une enquête interne sera malgré tout diligentée et aboutira à la suspension administrative de cet abattoir. Lorsqu’on va sur le site de la Sobeval, la bientraitance animale fait partie des priorités. Dans un article du journal Sud-Ouest de Novembre 2016, interrogé sur le scandale de l’abattoir de Limoges, le directeur, Gilles Gauthier, déclare que cela ne pourrait pas arriver dans cet abattoir, que les animaux meurent en 1 seconde, et que …les camions de transport sont neufs. L’abattoir est classé en 2e catégorie et doit passer, en 2017, en 1e catégorie. Cet article est intéressant car il n’est nullement fait mention de l’abattage rituel, on ne parle pas de corde dans la maison d’un pendu ! Il est intéressant de se pencher sur les protagonistes : après le décor, les acteurs ! Mr Gilles Gauthier, le directeur de l’abattoir est dirigeant de 9 sociétés réparties sur tout le territoire, dont Van Drie France, Schils France filiales d’un grand groupe néerlandais. Il est également le président de la puissante Fédération des Entreprises de la Viande. La puissance financière de ces consortiums permet de peser de façon efficace sur les pouvoirs publics par un lobbying de tous les instants. Corruption ? Népotisme ? Fraternité maçonnique ? Cette fois ci l’abattage halal et casher ayant été clairement mis en cause, les contre feux se mettent en branle : le Dr Jean Luc Angot, vétérinaire de la fonction publique, président du Comité National d’Ethique des Abattoirs (quand je lis le mot « éthique » je me méfie…) va entamer un numéro d’équilibriste dans une tribune intitulée « Un consensus peut être trouvé sur l’abattage rituel ». Après avoir enfilé quelques banalités, il nous ressort l’étourdissement après égorgement, véritable arnaque scientifique car n’empêche pas la section de la trachée et de l’œsophage caractéristique de l’abattage rituel et les graves problèmes sanitaires qui en découlent, et les 40 secondes prévues dans ce protocole expérimentale sont bien longues pour un animal en agonie. D’ailleurs il n’évoque même pas les problèmes sanitaires. Le ministre de l’Agriculture, Didier Guillaume déclare lors de son arrivée au ministère : « Moi, ministre de l’Agriculture, les lobbys ne pourront pas franchir la porte de mon ministère ». Inspecteur des impôts c’est un cacique du parti socialiste. Les lobbies de l’abattage rituel ont certainement fait exception. Elu de la Drôme, il se parachutera à Biarritz pour les municipales, et se retirera sur pression d’Emmanuel Macron. On peut mesurer sur cette affaire le mélange explosif d’incompétence, de lâcheté, d’affairisme politique et financier, et donc au final la complicité pour crime contre les animaux, les consommateurs, les bouchers et les éleveurs. Cette alliance objective entre le mercantilisme financier et l’obscurantisme religieux permet au halal de s’installer tranquillement, et donc à « l’islamic way of life », c’est-à-dire la charia de faire son nid dans notre société tel un coucou parasite. L’Etat dans ce domaine comme dans tant d’autres n’est plus qu’un parasite coûteux, omnipotent et impotent, et on se prend à rêver d’un grand chamboulement pour remettre les choses en place. Alain de Peretti Crédit photo : DR [cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine 

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Scandale de l’abattoir SOGEVAL : on avance enfin!

Un scandale de plus dans un abattoir, suite à une vidéo de L214. Mais cette fois ci, l’abattage « sans étourdissement » est clairement mis en cause, à la fois par cette association, que nous félicitons, mais aussi par les medias. Cette prudence de langage désigne bien sûr l’abattage rituel, halal et casher, sachant que le halal constitue l’essentiel des abattages.  Et comme dit le philosophe Olivier Rey, à partir d’une certaine échelle la quantité modifie la nature d’une chose. Sur les plateaux les débats tournent autour du thème : « faut-il interdire l’abattage halal ? » Réponse oui à plus de 85% ! Cette vidéo est riche d’enseignements Tout d’abord en matière de souffrance, les images sont sans appel : les animaux se débattent alors qu’ils sont suspendus .  Ce ne sont pas des réflexes comme l’affirmait sur un plateau  avec mauvaise foi un partisan de l’abattage rituel car les animaux, la gorge tranchée cherchaient à relever la tête ce qui est caractéristique d’un état de conscience. Tous les animaux passent par le piège rotatif, caractéristique de l’abattage rituel, et ceux qui sont étourdis le sont de façon irrégulière pour deux raisons : 1° la position face à l’animal dont la tête n’est pas immobilisée entraine des mouvements de retrait de l’animal qui rendent l’opération aléatoire, 2° les opérateurs qui pratiquent au quotidien l’abattage rituel ne sont certainement pas entrainés,  s’accoutument à la souffrance animale, voire même s’en fichent complètement… Le scandale dont on ne parle jamais, est l’effondrement de l’hygiène, bien visible sur la vidéo : du sang partout, des animaux traînés par terre, des régurgitations de contenu de l’estomac. Ce dernier est riche en bactéries antibio-résistantes  qui seront  disséminées à tous vents.  Ceci est lié à la section, lors de la saignée, de l’œsophage et de la trachée interdites pour raisons d’hygiène par la loi sauf…pour raisons de pratique religieuse.  Or les problèmes d’antibio-résistance sont reconnus par toutes les instances sanitaires comme un problème majeur de la médecine. Vigilance Halal a d’ailleurs commandé une expertise officielle sur ce sujet au Dr Thillier, expert judiciaire européen indépendant reconnu en sécurité sanitaire (procès de l’amiante et de la vache folle entre autres). Son rapport sera disponible fin Avril et servira de base à une action devant la Cour de Justice de l’Union Européenne. La réaction des « autorités » sanitaires est affligeante : la préfecture de la Dordogne indiquait dès mercredi 19 février qu’au premier visionnage, il n’y avait « pas de mise en évidence de non-conformité à la réglementation » dans les images diffusées par l’association animaliste  et que ces dernières « ne reflètent en aucun cas une souffrance ou un état de conscience de l’animal ». ( journal  Sud Ouest du20 Fevrier). Je tiens à leur disposition, en tant qu’ancien vétérinaire inspecteur des abattoirs la liste des infractions repérables sur la vidéo notamment en matière sanitaire. Incompétence, paresse, complicité, malhonnêteté, corruption… ? Toutes les hypothèses sont possibles. Mais nos actions judiciaires nous ont permis, au bout de 7 ans de procédures, de démontrer qu’il n’y avait aucun contrôle de l’usage de la dérogation à l’etourdissement !!! Cet abattoir ultra moderne de la société SOBEVAL est la propriété de la multinationale néerlandaise VANRIE, leader mondial de la viande de veau. C’est le symbole de l’évolution de notre société où la puissance financière entraîne toutes les dérives. Au détriment d’ailleurs des intérêts des éleveurs, des bouchers et des consommateurs. Ce scandale résulte de l’alliance du mercantilisme et de l’obscurantisme religieux que Vigilance Halal dénonce depuis sa création en 2012. Se pose maintenant la question de l’interdiction de ce mode d’abattage.Il faudra du courage politique…, encouragé par un vaste mouvement d’opinion : réveillons-nous ! Il faut que le public sache que seul l’étourdissement de l’animal permet une saignée précise et propre épargnant la trachée et l’œsophage car l’animal ne bouge pas. On allie ainsi hygiène et respect de l’animal : si on étourdissait seulement l’animal en laissant pratiquer un égorgement rituel complet le scandale sanitaire persisterait. C’est ce que nous essayons, pour l’instant en vain, de faire comprendre aux associations de protection animale qui ne veulent voir que l’étourdissement. Le justificatif religieux de toutes manières n’est pas recevable : si les mayas ou les aztèques étaient encore parmi nous laisserions nous pratiquer les sacrifices humains ? La modernité n’a pas que des bons côtés, mais il serait malgré tout judicieux que certaines religions en acceptent les progrès scientifiques. Alain de Peretti

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Alain de Peretti : « Le halal est un puissant moyen de contrôle social des populations musulmanes par les salafistes » [Interview]

L’année 2020 s’ouvre, et les opposants à la diffusion du halal dans la société française ne désarment pas. Ainsi l’association Vigilance Halal mène actuellement plusieurs combats judiciaires pour faire entrave à ce qu’elle nomme « l’halalisation de notre société ». Nous avons fait le point à ce sujet, avec Alain de Peretti, infatigable président. Breizh-info.com : Quel bilan tirez vous de l’année 2019 de Vigilance Halal ? Quelles actions avez vous mené ? Alain de Peretti (Vigilance Halal) : 2019 a été une année intense sur tous les plans avec une quinzaine de conférences dans toute la France, pour toute sortes de mouvements et associations ( rappelons que VH est apolitique, c’est à dire sans aucune autre attache politique que d’être au service du bien commun et de notre civilisation), une intensification de nos actions judiciaires ( 35 actions en cours ) et des actions de lobbying auprés des parlementaires, au printemps avec un courrier les alertant sur l’absurdité d’une taxe sur le halal pour financer l’islam, et une action de masse auprès du president de l’assemblée nationale où nous avons incité nos adhérents ( plus de 16 000) sympathisants et contacts en leur proposant d’écrire au président de l’assemblée nationale pour déterrer une proposition de loi de Nicolas Dupont-Aignan, déposée en Avril dernier, demandant que le mode d’abattage soit indiqué sur la viande et tous les produits carnés dans les produits préparés. Plus de 10 000 lettres ont d’ores et déjà été envoyées. Nous allons envoyer début Février une lettre à tous les députés pour les inciter à appuyer cette légitime demande d’étiquetage, en insistant sur la responsabilité sanitaire des législateurs, ignorée, malheureusement , dans les considérant du projet de loi. D’ailleurs, j’estime que les associations de protection animale en mettant le focus uniquement sur la souffrance animale dont les tenants de l’abattage rituel nient la réalité, et en refusant d’engager la réflexion sur l’aspect sanitaire et civilisationnel, ont contribué à retarder l’évolution du dossier. Lire la suite ici

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Alain de Peretti : « Avec l’égorgement halal, il y aura un énorme scandale sanitaire qui éclatera un jour ou l’autre ! »

Alain de Peretti, président de Vigilance halal, réagit à la décision du Conseil d’État qui a débouté une association contre l’abattage rituel. Il fait le point sur les différents contentieux et la stratégie de l’association sur les dérogations et la demande d’un étiquetage. L’association Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoir (OABA) demandait que le règlement soit modifié pour obliger l’étourdissement des bêtes. Cela risquait de mettre en danger les rites halal et casher. Le Conseil d’État vient de débouter cette association. Comment avez-vous accueilli la nouvelle ? Je ne suis pas du tout abattu. Cette décision a été mise en avant par les tenants de ces rituels comme une grande victoire. En fait, c’est simplement un coup d’arrêt dans l’évolution de toute façon obligatoire vers d’autres formes d’abattage des animaux. Le Conseil d’État n’a fait que confirmer la législation actuelle. L’abattage actuel sans étourdissement n’est autorisé que sous un régime de dérogation. Ce n’est donc pas du tout une victoire. L’intention cachée de l’OABA était d’obtenir des tenants de l’abattage rituel un étourdissement post-égorgement. C’est une solution déplorable. C’est une fausse bonne solution. Le chiffre de 40 secondes après l’égorgement circule. C’est quelque chose de très secret. Il existerait une thèse récompensée par l’OABA, mais elle reste non publiée et non accessible au public. Il y a donc d’autres manœuvres derrière ce combat. Pour ce qui nous concerne, nous luttons pour la fin pure et simple de l’abattage rituel. Leur axe d’attaque se tient au bien-être animal. Quel est le vôtre ? Il n’est pas sur cet unique registre. C’est la raison pour laquelle nous avons des problèmes avec les associations animalistes. Nous prenons le problème du halal sous ses trois aspects : la souffrance animale, bien sûr, mais aussi le problème sanitaire et les circuits financiers d’alimentation, notamment de l’islam. Nous soutenons que le halal est un des moyens de propager l’islam intégriste et politique et un moyen de contrôle social des populations musulmanes. Nous avons une vision politique globale sur le halal. Le combat continue-t-il avec Vigilance halal ? Le combat continue sur plusieurs plans. Sur le problème sanitaire, nous sommes en train d’étudier, avec nos conseillers scientifiques, une action devant la Cour de justice européenne. Le halal présente, en effet, d’énormes problèmes sanitaires. Un scandale éclatera un jour ou l’autre. On oublie toujours que la pratique de l’égorgement large, la jugulation, coupe la trachée et l’œsophage, provoquant des régurgitations et des souillures. Par ailleurs, certaines actions de Vigilance halal consistent à remettre en cause les dérogations octroyées pour l’abattage rituel, surtout halal, puisqu’ils ne font l’objet d’aucun contrôle sérieux des préfectures qui les attribuent. Nous avons engagé des actions judiciaires dans 23 départements. Mais ce processus est très long. Enfin, nous sommes en train, également, d’étudier une possibilité d’action pour discrimination. Ils refusent l’étiquetage, soi-disant parce qu’il serait discriminatoire : nous avons l’intention de retourner l’argument. Ceux qui consomment halal ont le droit d’avoir la certitude de manger halal par un étiquetage et ceux qui ne mangent pas halal prennent tout ce qu’il y a, même le halal. Nous nous attaquerons à ce point dans les mois qui viennent. Source : Boulevard Voltaire

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Abattage rituel en France : les animaux pourront être abattus sans étourdissement préalable

La requête de l’association Oeuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs (OABA) du 18 septembre 2019, voulant imposer l’étourdissement lors de l’abattage rituel en France, a été rejetée par le Conseil d’Etat au début du mois d’octobre (Lien vers la décision). L’institution publique a débouté l’OABA en estimant que « la réglementation nationale sur l’abattage rituel qui n’impose pas l’étourdissement préalable des animaux ne méconnaît ni le droit européen ni l’interdiction d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques ». La requête de l’association Oeuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs a donc été rejetée. Lire la suite ici

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Le halal, marqueur et vecteur de l’islamisation

Alain de Peretti, président de Vigilance Halal, nous adresse une tribune libre à propos du halal. Nous la reproduisons ci-dessous. Il faut d’abord rappeler que le halal ne concerne pas uniquement la nourriture et le mode d’abattage des animaux. Halal veut dire « licite », « autorisé », « pur » pour la « charia » ou loi islamique, qui concerne TOUS les actes de la vie, même les plus prosaïques. C’est un moyen de contrôle social des populations musulmanes pour les maintenir dans la « soumission » ( signification du mot « islam » ), au même titre que le ramadan, le voile, et autres prescriptions. En ce qui concerne l’abattage des animaux, le halal contrevient à 3 principes : souffrance  inutile, l’animal peut mettre ¼ d’heure à perdre conscience, tolérée par dérogation, le plus souvent largement violée par commodité et laxisme, voir même complicité. violation des principes de sécurité sanitaire, car la saignée est pratiquée par un égorgement large jusqu’aux vertèbres, sectionnant la trachée et l’œsophage, avec des regurgitations stomacales.  Sur un animal étourdi on peut sectionner avec précision les vaisseaux et épargner la trachée et l’œsophage. Là aussi une dérogation permets de procéder à cet égorgement contraire aux règle scientifiques d’hygiène. Perception d’une « taxe » alimentant les mosquées, et les circuits islamistes. Une grande enquête fiscale serait nécessaire pour tracer ces finances estimées entre 5 et  7 milliards d’euros. Comme aucun étiquetage informatif n’est demandé, nous avons tous consommé du halal et financé l’islam sans le savoir ! Tout peut être halal : céréales Kellog’s, protections féminines, finance halal, loisirs, etc… tout est bon pour financer l’islam : chaque fois qu’un produit a le « label » halal, il y a eu une somme versée à des circuits islamiques. Le halal est le fruit de l’alliance du mercantilisme marchand et de l’obscurantisme islamique. Le processus est tellement au point que l’on a inventé une nouvelle expression soft pour le halal et la soumission à la charia : on parle d’« islamic way of life », c’est beaucoup plus classe. Halal marqueur de l’islamisation : Dans un interview en 2011, Azouz Beggag, ancien secrétaire d’Etat du gouvernement Villepin et chercheur au CNRS , déclarait qu’il y avait au moins 15 millions de musulmans en France, contredisant le chiffre, toujours le même, de 5 millions qui nous est servi depuis 20 ans ! La poussée du halal est donc le marqueur fidèle de cette islamisation de la France, décrite par de nombreux auteurs dont, récemment, Mrs Davet et Lhomme journalistes du Monde qui découvrent l’eau chaude et parlent d’halalisation de la Seine Saint Denis. Avant eux, il y a plus de 15 ans, Georges Bensoussan parlait déjà de « territoires perdus de la République », ainsi que Gilles Kepel, et bien d’autres.   Faisons confiance au système pour refermer le couvercle aussitôt ces « révélations » données en pâture au bon peuple. Aucune mesure ne sera prise bien entendu… Ce marché en évolution rapide attire de nombreux acteurs empressés, attirés par un miroir aux alouettes trompeur, selon la formule du regretté Lénine : « les capitalistes vendront la corde pour les pendre ». Et tout cela est logique : plus il y aura de musulmans et plus le halal va se développer. Et les acteurs qui s’y seront précipités se verront remplacer peu à peu par des acteurs musulmans car jamais un « kouffar » ( mécréant) ne pourra s’occuper des affaires des musulmans. L’AFNOR, qui avait réussi à sortir aux forceps une norme halal à l’usage des industriels a été obligée de la retirer quelques mois après sous la bronca de TOUTES les associations musulmanes, même « modérées ». Le halal est donc en quelques sortes le thermomètre de l’importance numérique et l’influence de la population musulmane . Comme le dit avec son sens  de la formule Eric zemmour : « une boucherie halal c’est du commerce, 10 c’est de la colonisation ». La suite ici

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